Nous sommes entrés de gré ou de force dans la société de consommation depuis les années soixante. Est-on influencé ? peut-on résister. ? La question n'est pas facile à trancher car partisans ou détracteurs ont affûté leurs arguments.
Nous sommes des cibles influençables :
La publicité a des professionnels qui utilisent des arguments qui persuadent ou peuvent convaincre. La publicité revendique son rôle d'information, de concurrence, de promotion. Elle oublie de dire que chaque tranche d'âge est visée. Elle séduit, charme, promet des résultats extraordinaires, joue sur nos peurs, nos envies, notre souhait de confort, de bien-être et elle s'insinue dans des spots sur le sport, sur les services, sur les placements, sur les jeux. la liste ne peut même pas être exhaustive.
Avoir toujours plus ne saurait rendre heureux
Si l'amélioration du quotidien est un souhait légitime, il faut bien reconnaître que beaucoup de biens sont superflus; Nous confondons souvent le nécessaire et le reste qui coûte cher. Certains sont plus raisonnables que d'autres et adaptent leurs achats à leur budget. Ils préfèrent se recentrer sur l'être plutôt que sur l'avoir. Mais cette attitude ne peut venir qu'avec l'éducation du consommateur. Le discernement est indispensable et ce que nous achetons ne nous transforme pas.
Le consommateur avisé est celui qui distingue nécessaire et superflu et même s'il cède à l'achat-plaisir, il sait raison garder.
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loldu92loldu92
bonjour, le dernier paragraphe c'est pour oui nous sommes influencer ou non nous ne le sommes pas ?
niogret2m
avoir toujours plus ne saurait rendre heureux : on peut résister
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Réponse :
Nous sommes entrés de gré ou de force dans la société de consommation depuis les années soixante. Est-on influencé ? peut-on résister. ? La question n'est pas facile à trancher car partisans ou détracteurs ont affûté leurs arguments.
Nous sommes des cibles influençables :
La publicité a des professionnels qui utilisent des arguments qui persuadent ou peuvent convaincre. La publicité revendique son rôle d'information, de concurrence, de promotion. Elle oublie de dire que chaque tranche d'âge est visée. Elle séduit, charme, promet des résultats extraordinaires, joue sur nos peurs, nos envies, notre souhait de confort, de bien-être et elle s'insinue dans des spots sur le sport, sur les services, sur les placements, sur les jeux. la liste ne peut même pas être exhaustive.
Avoir toujours plus ne saurait rendre heureux
Si l'amélioration du quotidien est un souhait légitime, il faut bien reconnaître que beaucoup de biens sont superflus; Nous confondons souvent le nécessaire et le reste qui coûte cher. Certains sont plus raisonnables que d'autres et adaptent leurs achats à leur budget. Ils préfèrent se recentrer sur l'être plutôt que sur l'avoir. Mais cette attitude ne peut venir qu'avec l'éducation du consommateur. Le discernement est indispensable et ce que nous achetons ne nous transforme pas.
Le consommateur avisé est celui qui distingue nécessaire et superflu et même s'il cède à l'achat-plaisir, il sait raison garder.