bonjour pouvez vous me donner des clichés sur les pirates en anglais mais ce n'est pas grave si c'est en français je ferais la traduction je suis en 5ème merci beaucoup
Pas de pirate sans navire. C’est le capital-machine indispensable. Parfois, comme dans le cas de Misson, c’est le capitaine qui décide d’entrer en piraterie. Plus souvent une partie de l’équipage se révolte et s’empare du bateau.
Si l’on est à terre et sans moyen de naviguer, on se procurera une embarcation, pour se hisser sur le premier navire et le conquérir ; s’il est piètre marcheur ou mal armé on l’échangera par la suite contre un meilleur. La frégate armée de 20 à 50 t. était le navire rapide le plus apprécié. On modifiait le gréement pour porter le plus de toile possible et pouvoir rattraper les meilleurs voiliers. Mais on devait cependant éviter d’effrayer les proies sans méfiance. D’où certaines ruses pendant la journée : une voilure réduite, et même une pièce de bois jetée à l’eau et prise en remorque pour ralentir l’allure ; à la nuit, on remontait la remorque et on hissait toute la toile pour rattraper la victime. Il fallait arriver très près. A 200 m. les boulets n’étaient plus guère efficaces.
A bonne portée, le pirate se révélait. Le drapeau d’une nation quelconque, arboré jusqu’alors, était amené, et l’on voyait s’élever dans les airs le funèbre pavillon noir. C’était, souvent, le fameux Jolly Roger, orné d’une tête de mort et de deux tibias d’autres figuraient un squelette entier avec faux ; parfois le pavillon était rouge avec des symboles également terrifiants. Les hommes, pour la plupart dissimulés jusqu’alors, se dressaient avec leurs armes ; si on avait des prisonniers on les faisait monter sur le pont. Il fallait que le nombre, l’armement et le pavillon inspirassent la terreur. On envoyait un coup de semonce. Généralement le navire poursuivi cédait. L’armement des bateaux marchands était faible, de 2 à 4 canons, avec un seul homme pour les servir. Il eût était fou de résister. Si la cargaison était perdue, on pouvait du moins espérer sauver les vies.
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Marialeblois
merci pour la réponse mais cela ne m'aide pas bcp
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Bonjour
Pas de pirate sans navire. C’est le capital-machine indispensable. Parfois, comme dans le cas de Misson, c’est le capitaine qui décide d’entrer en piraterie. Plus souvent une partie de l’équipage se révolte et s’empare du bateau.
Si l’on est à terre et sans moyen de naviguer, on se procurera une embarcation, pour se hisser sur le premier navire et le conquérir ; s’il est piètre marcheur ou mal armé on l’échangera par la suite contre un meilleur. La frégate armée de 20 à 50 t. était le navire rapide le plus apprécié. On modifiait le gréement pour porter le plus de toile possible et pouvoir rattraper les meilleurs voiliers. Mais on devait cependant éviter d’effrayer les proies sans méfiance. D’où certaines ruses pendant la journée : une voilure réduite, et même une pièce de bois jetée à l’eau et prise en remorque pour ralentir l’allure ; à la nuit, on remontait la remorque et on hissait toute la toile pour rattraper la victime. Il fallait arriver très près. A 200 m. les boulets n’étaient plus guère efficaces.
A bonne portée, le pirate se révélait. Le drapeau d’une nation quelconque, arboré jusqu’alors, était amené, et l’on voyait s’élever dans les airs le funèbre pavillon noir. C’était, souvent, le fameux Jolly Roger, orné d’une tête de mort et de deux tibias d’autres figuraient un squelette entier avec faux ; parfois le pavillon était rouge avec des symboles également terrifiants. Les hommes, pour la plupart dissimulés jusqu’alors, se dressaient avec leurs armes ; si on avait des prisonniers on les faisait monter sur le pont. Il fallait que le nombre, l’armement et le pavillon inspirassent la terreur. On envoyait un coup de semonce. Généralement le navire poursuivi cédait. L’armement des bateaux marchands était faible, de 2 à 4 canons, avec un seul homme pour les servir. Il eût était fou de résister. Si la cargaison était perdue, on pouvait du moins espérer sauver les vies.