Bonjour, Pouvez-vous me faire un petit resumer du livre "la civilisation ma mere"driss-chraibi Et de la guerre est déclarée de Annie sauront je ne comprend pas les deux livres Merci
Deux jeunes garçons nous racontent l'histoire de leur vie et surtout celle de leur mère, d écouvrant le monde extérieur, la modernité... C’est l’histoire d’une femme douce et fragile, mariée très jeune et qui devient vite une mère. Elle ne se rend pas compte que le monde se développe et change. après être restée longtemps enfermée dans la maison d’un homme, ni méchant, ni despote, mais sombrant dans la tradition. La femme se libère petit à petit des préjugés et de l’ignorance... Tout en restant simple et drôle, elle s’intéresse au combat pour l’indépendance, adhère aux mouvements de libération des femmes et milite en faveur du Tiers monde... le parcours de cette femme est tout un symbole. Première partie "Etre".
Etre, c’est exister, survivre, la mère découvre les objets de la société de consommation : la radio, le téléphone, le fer à repasser, le cinéma. Un jour, elle voit le général de Gaulle. Ces évènements déclenchent chez elle la prise de conscience de son ignorance, de son aliénation et la curiosité pour le monde extérieur. Deuxième partie "Avoir".
Avoir renvoie chez la mère à son désir de lutter, de prendre conscience, de découvrir et de posséder le monde dans lequel elle vit, la mère enterre certains objets. Cet acte est symbolique de la mise à mort de son passé de réclusion et de sa renaissance à une vie nouvelle. Cette curiosité au monde se répercute sur son fils Nagib, qu’elle déstabilise constamment avec ses questions incessantes. Chaque dimanche, elle organise des « déjeuners-débats » dans lesquels elle communique ses connaissances. Elle veut ainsi transmettre le désir d’émancipation à la population. Elle se heurte aux hommes qui sont réticents car beaucoup refusent que leur épouse en sache plus qu’eux. A la fin du roman, le père prend conscience de l’erreur économique et culturelle que constitue l’enfermement de la femme. La mère décide de partir en Occident, et son fils, Nagib, la rejoint clandestinement sur le bateau afin de partir avec elle. LE NARRATEUR
Deux narrateurs , ce sont les deux fils. Dans la première partie c'est le fils le plus jeune qui part vers l’occident à la fin de la première partie qui raconte, puis, dans la seconde partie, c’est Nagib, le fils aîné, qui prend le relais. Ce choix narratif permet de rendre compte des liens très forts existant entre les fils et la mère et de ressortir la tendresse, l’amusement et l’admiration qu’ils ressentent envers leur mère.
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L'histoire by sarroura
Deux jeunes garçons nous racontent l'histoire de leur vie et
surtout celle de leur mère, d écouvrant le monde extérieur,
la modernité... C’est l’histoire d’une femme douce et
fragile, mariée très jeune et qui devient vite une mère.
Elle ne se rend pas compte que le monde se développe et
change. après être restée longtemps enfermée dans la maison
d’un homme, ni méchant, ni despote, mais sombrant dans la
tradition. La femme se libère petit à petit des préjugés et
de l’ignorance... Tout en restant simple et drôle, elle
s’intéresse au combat pour l’indépendance, adhère aux
mouvements de libération des femmes et milite en faveur du
Tiers monde... le parcours de cette femme est tout un
symbole.
Première partie "Etre".
Etre, c’est exister, survivre, la mère découvre les objets
de la société de consommation : la radio, le téléphone, le
fer à repasser, le cinéma. Un jour, elle voit le général de
Gaulle. Ces évènements déclenchent chez elle la prise de
conscience de son ignorance, de son aliénation et la
curiosité pour le monde extérieur.
Deuxième partie "Avoir".
Avoir renvoie chez la mère à son désir de lutter, de prendre
conscience, de découvrir et de posséder le monde dans lequel
elle vit, la mère enterre certains objets. Cet acte est
symbolique de la mise à mort de son passé de réclusion et de
sa renaissance à une vie nouvelle. Cette curiosité au monde
se répercute sur son fils Nagib, qu’elle déstabilise
constamment avec ses questions incessantes. Chaque dimanche,
elle organise des « déjeuners-débats » dans lesquels elle
communique ses connaissances. Elle veut ainsi transmettre le
désir d’émancipation à la population. Elle se heurte aux
hommes qui sont réticents car beaucoup refusent que leur
épouse en sache plus qu’eux. A la fin du roman, le père
prend conscience de l’erreur économique et culturelle que
constitue l’enfermement de la femme. La mère décide de
partir en Occident, et son fils, Nagib, la rejoint
clandestinement sur le bateau afin de partir avec elle.
LE NARRATEUR
Deux narrateurs , ce sont les deux fils. Dans la première
partie c'est le fils le plus jeune qui part vers l’occident
à la fin de la première partie qui raconte, puis, dans la
seconde partie, c’est Nagib, le fils aîné, qui prend le
relais. Ce choix narratif permet de rendre compte des liens
très forts existant entre les fils et la mère et de
ressortir la tendresse, l’amusement et l’admiration qu’ils
ressentent envers leur mère.