bonjour pouvez vous me faire un résumer du livre( L'homme et le loup et autre nouvelles)??? sil vous plait merci d'avance
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MmsChocolat
Bonjour: L’homme et le loup : Bill et son compagnon avancent courbés en deux sous le poids de ballots que des lanières passées sur le front aident à porter. Leur visage, marqué par la fatigue, montre qu’ils ont enduré des privations de longue date. Leurs fusils n’ont plus de cartouches. Si seulement ils pouvaient atteindre la cache dans laquelle munitions et vivres sont entreposés ! Pour traverser la rivière, un affluent de la Coppermine River qui se jette dans l’Océan Arctique, ils n’ont pas ôté leurs chaussures malgré l’eau glacée. Et voilà que l’un se foule une cheville en glissant sur les roches. Bill s’éloigne sans se retourner. L’homme a beau l’appeler à l’aide, il continue son chemin sans même un regard. Luttant contre la peur, l’homme tente de le rejoindre mais en vain. Il lui faut désormais avancer seul, dormir à même le sol, ne pas se perdre. La faim devient la grande épreuve. Sans cartouches, les caribous, les lagopèdes lui échappent. Il ne se nourrit plus que de baies et, à l’occasion, d’os que les loups ont laissés. Lorsqu’il pense que les ossements sont ceux de Bill, l’homme n’y touche pas. A présent perdu, épuisé, ayant abandonné ses réserves d’or, il n’a plus que la force de se traîner à quatre pattes, poursuivi par un loup malade et affamé qui attend qu’il meure pour le dévorer. Recueilli par l’équipage d’un baleinier, l’homme, par crainte de nouveau avoir faim, ne cesse de manger et d’accumuler des réserves sous sa couchette. Le fils du loup : Scruff Mackenzie a passé deux ans à ramasser l’or des bancs de sable près du Cercle polaire avant d’aller chercher une femme qui viendra vivre avec lui dans le Yukon. Au bout de trois semaines, son attelage de chiens atteint le camp de chasse des Sticks, une tribu d’Améridiens. Scruff manœuvre avec ruse pour pousser Zarinska, la fille du chef Thling-Tinneh, à tomber amoureuse de lui. Il force la sympathie de son père en lui offrant du thé et du tabac. Le chamam et les hommes de la tribu ne veulent pas que les hommes blancs qu’ils appellent les fils du loup prennent leurs femmes. Scruff se vante de faire partie du peuple le plus puissant de tous et annonce que, pour un blanc tué, dix fils de la tribu perdront la vie. Après avoir résisté, les Sticks sont obligés de le laisser partir en emmenant Zarinska consentante. Bâtir un feu : Négligeant les conseils d’un ancien de la compagnie, un homme entreprend de rejoindre seul le camp où l’attendent un bon feu et un dîner chaud. Il est suivi par un husky. Il fait moins de soixante-quinze degrés Farenheit au-dessous de zéro. L’homme est sûr que ses joues gèlent. Malgré sa prudence, il tombe dans une des flaques d’eau cachées sous la neige. A ces températures, avoir les pieds mouillés représente un danger. Il faut alors impérativement faire un feu pour garder au chaud ses pieds nus le temps de faire sécher chaussettes et mocassins. L’homme ne parvient pas à garder un feu allumé. Les doigts gelés, il ne sent pas qu’il se brûle la main. Il pense un instant tuer le chien pour se couvrir de sa peau. Il a beau courir, ses pieds gèlent. Il tombe dans la neige. La somnolence le prend avant la mort. Chris Farrington, un vrai marin : Chris, un jeune gars de 17 ans, fait la preuve de ses qualités de marin lorsqu’il parvient à piloter la Sophie Sutherland, un navire phoquier, au milieu d’un typhon d’une violence extrême. Les terribles îles Salomon : Le capitaine Malou charge le capitaine Hansen et le gérant d’une plantation de faire découvrir au naïf et sensible Bertram Arkwright les aspects sanguinaires des îles Salomon. Repousser un abordage : Naviguant de nuit avec son ami Bob, Paul se désole de n’avoir pas vécu d’aventure lorsque deux pêcheurs italiens, furieux que le voilier ait cassé leur filet, tentent de monter à bord en les menaçant avec des couteaux. Les deux amis réussiront à s’en débarrasser en manœuvrant la grand-voile
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L’homme et le loup : Bill et son compagnon avancent courbés en deux sous le poids de ballots que des lanières passées sur le front aident à porter. Leur visage, marqué par la fatigue, montre qu’ils ont enduré des privations de longue date. Leurs fusils n’ont plus de cartouches. Si seulement ils pouvaient atteindre la cache dans laquelle munitions et vivres sont entreposés ! Pour traverser la rivière, un affluent de la Coppermine River qui se jette dans l’Océan Arctique, ils n’ont pas ôté leurs chaussures malgré l’eau glacée. Et voilà que l’un se foule une cheville en glissant sur les roches. Bill s’éloigne sans se retourner. L’homme a beau l’appeler à l’aide, il continue son chemin sans même un regard. Luttant contre la peur, l’homme tente de le rejoindre mais en vain. Il lui faut désormais avancer seul, dormir à même le sol, ne pas se perdre. La faim devient la grande épreuve. Sans cartouches, les caribous, les lagopèdes lui échappent. Il ne se nourrit plus que de baies et, à l’occasion, d’os que les loups ont laissés. Lorsqu’il pense que les ossements sont ceux de Bill, l’homme n’y touche pas. A présent perdu, épuisé, ayant abandonné ses réserves d’or, il n’a plus que la force de se traîner à quatre pattes, poursuivi par un loup malade et affamé qui attend qu’il meure pour le dévorer. Recueilli par l’équipage d’un baleinier, l’homme, par crainte de nouveau avoir faim, ne cesse de manger et d’accumuler des réserves sous sa couchette. Le fils du loup : Scruff Mackenzie a passé deux ans à ramasser l’or des bancs de sable près du Cercle polaire avant d’aller chercher une femme qui viendra vivre avec lui dans le Yukon. Au bout de trois semaines, son attelage de chiens atteint le camp de chasse des Sticks, une tribu d’Améridiens. Scruff manœuvre avec ruse pour pousser Zarinska, la fille du chef Thling-Tinneh, à tomber amoureuse de lui. Il force la sympathie de son père en lui offrant du thé et du tabac. Le chamam et les hommes de la tribu ne veulent pas que les hommes blancs qu’ils appellent les fils du loup prennent leurs femmes. Scruff se vante de faire partie du peuple le plus puissant de tous et annonce que, pour un blanc tué, dix fils de la tribu perdront la vie. Après avoir résisté, les Sticks sont obligés de le laisser partir en emmenant Zarinska consentante. Bâtir un feu : Négligeant les conseils d’un ancien de la compagnie, un homme entreprend de rejoindre seul le camp où l’attendent un bon feu et un dîner chaud. Il est suivi par un husky. Il fait moins de soixante-quinze degrés Farenheit au-dessous de zéro. L’homme est sûr que ses joues gèlent. Malgré sa prudence, il tombe dans une des flaques d’eau cachées sous la neige. A ces températures, avoir les pieds mouillés représente un danger. Il faut alors impérativement faire un feu pour garder au chaud ses pieds nus le temps de faire sécher chaussettes et mocassins. L’homme ne parvient pas à garder un feu allumé. Les doigts gelés, il ne sent pas qu’il se brûle la main. Il pense un instant tuer le chien pour se couvrir de sa peau. Il a beau courir, ses pieds gèlent. Il tombe dans la neige. La somnolence le prend avant la mort. Chris Farrington, un vrai marin : Chris, un jeune gars de 17 ans, fait la preuve de ses qualités de marin lorsqu’il parvient à piloter la Sophie Sutherland, un navire phoquier, au milieu d’un typhon d’une violence extrême. Les terribles îles Salomon : Le capitaine Malou charge le capitaine Hansen et le gérant d’une plantation de faire découvrir au naïf et sensible Bertram Arkwright les aspects sanguinaires des îles Salomon. Repousser un abordage : Naviguant de nuit avec son ami Bob, Paul se désole de n’avoir pas vécu d’aventure lorsque deux pêcheurs italiens, furieux que le voilier ait cassé leur filet, tentent de monter à bord en les menaçant avec des couteaux. Les deux amis réussiront à s’en débarrasser en manœuvrant la grand-voile