Bonjour pouvez-vous me faire un texte de sa svp : Imagine que tu perdes un objet qui a beaucoup d’importance pour toi. Raconte, en une quinzaine de lignes, comment tu l’as perdu et quel événement inattendu te permet de le retrouver.
(Je n'ai pas put sauter des lignes pour faire plus jolie et moins grossier pour cause de manque de place, j'espère que cela te plaira). Lorsque je pleurais, il était là. Lorsque je jouais, il était là. Lorsque je m'émerveillais, il était là.
Quand je me m'étais en colère, il était là aussi.
Il était toujours à mes côtés lorsque tout s'effondrait, lorsque tout le monde mourait et lorsque plus rien n'allait.
C'est moi qui l'ai confectionné, de mes petites mains, je devais avoir 5 ou 6 ans, pas plus. On était au coin du feu, avec maman et elle m'aidait à le coudre et à lui fabriqué des yeux de boutons.
C'était une belle peluche, un lapin blanc, avec deux yeux dépareillé. Un ventre rose en mousseline et deux oreilles bleues en coton.
Il a toujours été à mes côté jusqu'à mes 14 ans.
Puis, il y a quelques temps, je l'ai perdu.
Il n'était plus là.
Ce devait être un jeudi, on était dans notre maison de vacances et il pleuvait dehors. Maman lisait dans le salon et papa essayait d'arranger les cables, car, à cause de l'orage, il y a eu une coupure d'électricité. Finalement, papa décida d'allumer les bougies. Il en prit quelques unes, prit les allumettes et en alluma. Lorsqu' il repartit, je ne sais pas de quel manière il a put commettre l'incendie, mais un incendie éclatat, brulant la maison et réduisant en cendre tout ce qui si trouvait. Dont mon lapin. A chaque fois, je me punnissait lorsque je pensais à lui et fondait en larme en tapant du pied. J'avais le temps, j'aurais put le sauver. Oui, je sais cher lecteur que vous vous mauquez de moi car je pleure pour un lapin de rien du tout ! Mais c'est mon lapin, j'aurais put le sauver, je ne l'ai pas fait et je m'en veut, voilà. En tout cas, celui qui s'en est le plus voulu dans l'histoire, c'était mon père. Lui aussi pleurait et nous disait à moi et à ma mère à quel point il était désolé.
Un jour, je devais avoir 20 ans, je vis un petit paquet sur mon lit, je l'ouvrit, c'était mon lapin ! Je mis mes mains sur mes joues mouillées de larmes. Mon père entra dans ma chambre, me serra dans ces bras et me dit qu'il s'en est tellement voulu qu'il y a un mois, il voulu revenir sur la place de l'incendie et qu'il vit mon lapin. J'étais si heureuse. Il avait beau être salle, marron et noir à moitié déchirée, je l'aimais et l'aimerais toujours.
Si tu trouves des fautes de frappes, n'hésite pas à les corriger.
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(Je n'ai pas put sauter des lignes pour faire plus jolie et moins grossier pour cause de manque de place, j'espère que cela te plaira). Lorsque je pleurais, il était là. Lorsque je jouais, il était là. Lorsque je m'émerveillais, il était là.
Quand je me m'étais en colère, il était là aussi.
Il était toujours à mes côtés lorsque tout s'effondrait, lorsque tout le monde mourait et lorsque plus rien n'allait.
C'est moi qui l'ai confectionné, de mes petites mains, je devais avoir 5 ou 6 ans, pas plus. On était au coin du feu, avec maman et elle m'aidait à le coudre et à lui fabriqué des yeux de boutons.
C'était une belle peluche, un lapin blanc, avec deux yeux dépareillé. Un ventre rose en mousseline et deux oreilles bleues en coton.
Il a toujours été à mes côté jusqu'à mes 14 ans.
Puis, il y a quelques temps, je l'ai perdu.
Il n'était plus là.
Ce devait être un jeudi, on était dans notre maison de vacances et il pleuvait dehors. Maman lisait dans le salon et papa essayait d'arranger les cables, car, à cause de l'orage, il y a eu une coupure d'électricité. Finalement, papa décida d'allumer les bougies. Il en prit quelques unes, prit les allumettes et en alluma. Lorsqu' il repartit, je ne sais pas de quel manière il a put commettre l'incendie, mais un incendie éclatat, brulant la maison et réduisant en cendre tout ce qui si trouvait. Dont mon lapin. A chaque fois, je me punnissait lorsque je pensais à lui et fondait en larme en tapant du pied. J'avais le temps, j'aurais put le sauver. Oui, je sais cher lecteur que vous vous mauquez de moi car je pleure pour un lapin de rien du tout ! Mais c'est mon lapin, j'aurais put le sauver, je ne l'ai pas fait et je m'en veut, voilà. En tout cas, celui qui s'en est le plus voulu dans l'histoire, c'était mon père. Lui aussi pleurait et nous disait à moi et à ma mère à quel point il était désolé.
Un jour, je devais avoir 20 ans, je vis un petit paquet sur mon lit, je l'ouvrit, c'était mon lapin ! Je mis mes mains sur mes joues mouillées de larmes. Mon père entra dans ma chambre, me serra dans ces bras et me dit qu'il s'en est tellement voulu qu'il y a un mois, il voulu revenir sur la place de l'incendie et qu'il vit mon lapin. J'étais si heureuse. Il avait beau être salle, marron et noir à moitié déchirée, je l'aimais et l'aimerais toujours.
Si tu trouves des fautes de frappes, n'hésite pas à les corriger.