Bonjour pouvez vous répondre à ces questions suivante par rapport au texte svp Question 1 Sait t’on qu’elle sentiment le personnage ressent ?Pourquoi à votre a vie Question 2Quels sont les sens qui sont mise en valeur dans le texte ? Question 3 « progrésivement a mesure que la terre s’entasse au dessus de lui il est immobile compresser ,comprimer » Quel sensation est mise en avant dans cette phrase ? Quel est la figure de style ? Question 4 un volcan quel est la particularité grammaticale de cette phrase ? Quelle est le temps dominant dans cette phrase ?et sa valeur ? Question 5 relever et donner la classe grammaticale et la fonction d’au moins deux expansion ou complément du nom vague Question 6 « Albert se recroqueville et bloque sa respiration » dans cette phrase comment sont relier proposition entre elle ?Quelle lien logique est mise en avant ?
1)La peur : Albert ignore ce qui se passe car de là où il se trouve, il ne voit rien( il se cache dans une tranchée)
Le doute / hésitation :il hésite à jeter un coup d'œil hors de sa cachette
L'étonnement : il est un habitué des détonations et est surpris par celle produite par cet obus.
2) L'ouïe car il ignore ce qui se passe et ne peut donc pas voir, mais il entend. Champ lexical de l'audition : bruit sourd et feutré détonation, ronflement amorti
3) Sensation d'étouffement mise en valeur par les mots *suffocation, compresser et comprimer *
4) Un volcan est un nom concret, dont seule l'évocation nous détermine ce qui se passe... Grondements massifs, explosion.
Le temps est le présent de l'indicatif et sa valeur exprime une action qui se passe au moment même où l'on parle
5) l'adjectif *brune * qui nous détermine la couleur de la vague. La subordonnée relative *Dont * qui fait allusion à la vague
6) elles sont reliées par la conjonction de coordination *Et*
1 votes Thanks 1
nlyneedna
et l'amour fait rêver, l'amour fait voyager comme lorsqu'on est à côté d'une femme qu'on aime. Il est heureux
nlyneedna
aller loin, c'est le faire dans sa tête. il veut aller plus haut que son âme, plus haut que son imagination.
nlyneedna
l'amour infini ( ça veut dire : l'amour qui ne finit jamais
nlyneedna
cet amour monte dans son âme (son esprit)
juliemondra
Ah d’accord j’ai compris j’ai compris oh là tu explique bien et pour finir la dernier question que tu a pas répondue ?:)
nlyneedna
3)Parce dans la seconde strophe il parle de s'en aller au loin comme un voyageur, et dans la première strophe, on a l'impression que finalement il est parti et c'est la fin de la première strophe qui donne cette impression qu'il est parti *je laisserai le vent baigner ma tête nue*. L'auteur poursuit donc son voyage.
juliemondra
Ah d’accord mais pourquoi alors ont dit plutôt pas que la conséquence c’est plutôt la première strophe parcque vus que qu’il est déjà parti normalement la strophe 1 c’est la conséquence ?
nlyneedna
Julie, je suis crevée. c'est la dernière réponse que je te donne
nlyneedna
Tu peux commencer ton poème par le dernier vers de la strophe 2 et finir le poème par la première strophe puisque l'on parle de cette envie de voyager. Ça peut permettre à l'auteur en inversant les strophes de comparer la femme aux fleurs bleues qui sont magnifiques en été car elles rayonnent grâce au soleil (elles : la femme et les fleurs bleues)
juliemondra
Oui mais je veux pas de déplacement juste besoins d’une explication juste savoir pourquoi la Deuxime strophe et la conséquence à la première strophe parcque là tu répond pas à ma question:)?
Lista de comentários
Réponse:
Bonsoir
1)La peur : Albert ignore ce qui se passe car de là où il se trouve, il ne voit rien( il se cache dans une tranchée)
Le doute / hésitation :il hésite à jeter un coup d'œil hors de sa cachette
L'étonnement : il est un habitué des détonations et est surpris par celle produite par cet obus.
2) L'ouïe car il ignore ce qui se passe et ne peut donc pas voir, mais il entend. Champ lexical de l'audition : bruit sourd et feutré détonation, ronflement amorti
3) Sensation d'étouffement mise en valeur par les mots *suffocation, compresser et comprimer *
4) Un volcan est un nom concret, dont seule l'évocation nous détermine ce qui se passe... Grondements massifs, explosion.
Le temps est le présent de l'indicatif et sa valeur exprime une action qui se passe au moment même où l'on parle
5) l'adjectif *brune * qui nous détermine la couleur de la vague. La subordonnée relative *Dont * qui fait allusion à la vague
6) elles sont reliées par la conjonction de coordination *Et*