Bonjour, qqn peut m'aider à analyser ce que j'ai mis entre parenthèses svp? (il n'y a que 2 choses)
Au vrai, cette Française vécut son enfance dans l’Yonne, son adolescence parmi des peintres, des journalistes, des virtuoses de la musique, en Belgique, où s’étaient fixés ses deux frères aînés, puis elle revint dans l’Yonne et s’y maria, deux fois. D’où, de qui lui furent remis sa rurale sensibilité, son goût fin de la province ? Je ne saurais le dire. Je la chante, de mon mieux. ( Je célèbre la clarté originelle qui, en elle, refoulait, éteignait souvent les petites lumières péniblement allumées au contact de ce qu’elle nommait « le commun des mortels ».) Je l’ai vue suspendre, dans un cerisier, un épouvantail à effrayer les merles, car l’Ouest, notre voisin, enrhumé et doux, secoué d’éternuements en série, ne manquait pas de déguiser ses cerisiers en vieux chemineaux et coiffait ses groseilliers de gibus poilus. Peu de jours après, je trouvais ma mère sous l’arbre, passionnément immobile, la tête à la rencontre du ciel ( d’où elle bannissait les religions humaines… )
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Réponse :
Bonjour, en espérant vous avoir aidé!
Explications :
Dans ce texte, la phrase mise entre parenthèses est une remarque qui décrit une caractéristique importante de la femme dont il est question dans le texte. En effet, l'auteur célèbre la clarté originelle de cette femme, qui faisait souvent taire les petites lumières allumées par d'autres personnes à cause de son mépris pour ce qu'elle appelait "le commun des mortels". Cette remarque souligne donc le caractère original et peut-être excentrique de cette femme.
Ensuite, la deuxième phrase entre parenthèses est également une remarque, qui précise que la femme en question bannissait les religions humaines de sa vie. Cette information nous permet de mieux comprendre la personnalité et les croyances de cette femme.