Quelqu'un aurait une idée de choses dont je peux parler dans une rédaction de 30 lignes à faire en temps que soldat de la Première Guerre Mondiale qui raconte ce qu'il vit au quotidien à ses parents svp ?
Il faut veiller à ce que le texte ne soit pas trop explicite (pendant la Grande Guerre, les soldats étaient soumis à la censure : il ne fallait pas raconter les choses trop violemment et dire la vérité sur le massacre qu'il se passait pour que l'Arrière ne se doute pas du massacre.). Je voudrais bien seulement quelques idées de thèmes à aborder svp, je suis en manque d'inspiration...
A peine la guerre est commencée, le 28 juillet 2014, que nous, soldats commençons à en avoir assez de se battre, assez des conditions de vies pénibles, assez de la peur de mourir à tout instant, assez de ne pas savoir si nous reverrons un jour nos proches ou non et encore beaucoup d'autres raisons qui créent une immense lassitude.
J'aimerais demander une trêve par certains moments, je ne demande qu'un peu de repos, je vis dans la misère, le désespoir de la paix et je trouve cette guerre monstrueusement stupide et violente. Ils sont partout, nous sommes cernés, notre enlisement survient rapidement et nous ne savons plus comment nous en défaire.
Je crains de je jamais voir naître notre enfant, ne plus jamais vous embrasser...
Je ne suis pas préparé à cette guerre, je pense que je vais y rester, je veux vous dire que je vous aime à vos mes chers parents, avant de vous quitter. Je ne veux plus chasser l'homme, je ne veux plus me cacher, le bruit de ces mitrailleuses et de ces fusils me rendent sourds, je rêve de silence, je rêve d'un peu de chance. J'ai une envie de révolte, je pense que nous subissons de la manipulation, nous servons de chair à canon pour ces ennemis soldats.
Je crois que je préfère périr plutôt que de terminer gravement blessé, je serais alors une charge pour vous et je ne m'accepterais jamais. Je perds l'espoir d'une autre vie.
Leur armement est bien meilleur que le nôtre, il est meurtrier et je vis ou plutôt je survis dans une violence inenvisageable tout en connaissant de grandes souffrances physiques et morales ; Certains de mes collègues se suicident par désespoir.
Je vous aime à tous les deux ...
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sranviermatikhine
Merci beaucoup à toi, tu m'aides ! Bonne soirée :)
cleolerouvreur
de rien je suis la si tu as besoin d'aide :)
Tu peux, par exemple, parler des conditions d'hygiène (la boue, les rats), les odeurs infestes (les corps en décomposition), des conditions de vie horribles (les soldats peuvent rester des jours en première ligne, ils ne dorment quasiment pas et mangent très mal).
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Bonsoir,
Mes chers parents,
A peine la guerre est commencée, le 28 juillet 2014, que nous, soldats commençons à en avoir assez de se battre, assez des conditions de vies pénibles, assez de la peur de mourir à tout instant, assez de ne pas savoir si nous reverrons un jour nos proches ou non et encore beaucoup d'autres raisons qui créent une immense lassitude.
J'aimerais demander une trêve par certains moments, je ne demande qu'un peu de repos, je vis dans la misère, le désespoir de la paix et je trouve cette guerre monstrueusement stupide et violente. Ils sont partout, nous sommes cernés, notre enlisement survient rapidement et nous ne savons plus comment nous en défaire.
Je crains de je jamais voir naître notre enfant, ne plus jamais vous embrasser...
Je ne suis pas préparé à cette guerre, je pense que je vais y rester, je veux vous dire que je vous aime à vos mes chers parents, avant de vous quitter. Je ne veux plus chasser l'homme, je ne veux plus me cacher, le bruit de ces mitrailleuses et de ces fusils me rendent sourds, je rêve de silence, je rêve d'un peu de chance. J'ai une envie de révolte, je pense que nous subissons de la manipulation, nous servons de chair à canon pour ces ennemis soldats.
Je crois que je préfère périr plutôt que de terminer gravement blessé, je serais alors une charge pour vous et je ne m'accepterais jamais. Je perds l'espoir d'une autre vie.
Leur armement est bien meilleur que le nôtre, il est meurtrier et je vis ou plutôt je survis dans une violence inenvisageable tout en connaissant de grandes souffrances physiques et morales ; Certains de mes collègues se suicident par désespoir.
Je vous aime à tous les deux ...
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Réponse :
Tu peux, par exemple, parler des conditions d'hygiène (la boue, les rats), les odeurs infestes (les corps en décomposition), des conditions de vie horribles (les soldats peuvent rester des jours en première ligne, ils ne dorment quasiment pas et mangent très mal).
Voila j'espère t'avoir un peu aidé.
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