Aujourd’hui il existe encore des journalistes et écrivains qui subissent la censure. Cela peut être à cause d’un régime dictatorial où journalistes et écrivains sont emprisonnés, torturés et même assassinés pour avoir exprimer leurs convictions. La censure est aussi présente dans des régimes plus démocratiques. La problématique reviendrait à demander si la parole (exprimée par des mots) peut lutter contre un pouvoir despotique. Dans un premier temps on pourra développer dans quelles circonstances les mots perdent leur pouvoir face à la force et ensuite on pourra montrer que la force peut provoquer le pouvoir des mots.
Les mots sont impuissants face à la force.
-Certains mots ou écrits engagés peuvent troubler et malencontreusement ils subissent des représailles (attentat de Charlie Hebdo)
-Face aux représailles, certains finissent par opter pour le silence ou la censure.
Les mots peuvent être manipulés par la force. Ils peuvent servir à la propagande (par exemple pour les régimes totalitaires) ou être utilisés pour éliminer un opposant. (les documents falsifiés qui accablent Dreyfus)
II) Les mots peuvent défier la force
La force peut encourager l’écriture (certains écrivains ou journalistes peuvent défendre un pouvoir)
La force permet aux langues de se délier pour dénoncer
Les mots peuvent devenir une force à part entière ( l’appel du 18 juin du Général de Gaulle)
Les mots peuvent défier la force en ayant un sens caché ( les écrivains peuvent utiliser l’ironie comme Voltaire dans "L'Esprit des lois ») C’est aux lecteurs de déchiffrer les messages véhiculés.
La parole est un moyen de maintenir certaines libertés (liberté d’expression notamment)
- la littérature engagée sert bien souvent de garde-fou : pensez au fameux article "J'accuse" de Zola dans l'Aurore qui a "relancé" l'affaire Dreyfus.
Explications :
Voici l’intro et le plan, j’espère que cela vous aidera malgré le délais. J’ai ajouté des références.
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Aujourd’hui il existe encore des journalistes et écrivains qui subissent la censure. Cela peut être à cause d’un régime dictatorial où journalistes et écrivains sont emprisonnés, torturés et même assassinés pour avoir exprimer leurs convictions. La censure est aussi présente dans des régimes plus démocratiques. La problématique reviendrait à demander si la parole (exprimée par des mots) peut lutter contre un pouvoir despotique. Dans un premier temps on pourra développer dans quelles circonstances les mots perdent leur pouvoir face à la force et ensuite on pourra montrer que la force peut provoquer le pouvoir des mots.
Les mots sont impuissants face à la force.
-Certains mots ou écrits engagés peuvent troubler et malencontreusement ils subissent des représailles (attentat de Charlie Hebdo)
-Face aux représailles, certains finissent par opter pour le silence ou la censure.
Les mots peuvent être manipulés par la force. Ils peuvent servir à la propagande (par exemple pour les régimes totalitaires) ou être utilisés pour éliminer un opposant. (les documents falsifiés qui accablent Dreyfus)
II) Les mots peuvent défier la force
La force peut encourager l’écriture (certains écrivains ou journalistes peuvent défendre un pouvoir)
La force permet aux langues de se délier pour dénoncer
Les mots peuvent devenir une force à part entière ( l’appel du 18 juin du Général de Gaulle)
Les mots peuvent défier la force en ayant un sens caché ( les écrivains peuvent utiliser l’ironie comme Voltaire dans "L'Esprit des lois ») C’est aux lecteurs de déchiffrer les messages véhiculés.
La parole est un moyen de maintenir certaines libertés (liberté d’expression notamment)
- la littérature engagée sert bien souvent de garde-fou : pensez au fameux article "J'accuse" de Zola dans l'Aurore qui a "relancé" l'affaire Dreyfus.
Explications :
Voici l’intro et le plan, j’espère que cela vous aidera malgré le délais. J’ai ajouté des références.
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