Je m'apprêtais a courir, quand soudain la porte s'ouvrit. La silhouette d'une vieille dame apparût, je n'avais pas le temps de m'enfuir. Le grand Michu et les autres couraient devant en ricanant. Je devais inventer une excuse, et vite.
-Oui jeune homme, que me veux tu? demanda la vieille femme.
- Je... je voulais... vus proposer de l'aide! Dis-je, en bredouillant.
- C'est adorable mon grand, je viens justement de faire mes courses, tu peux m'aider à les ranger.
Le grand Michu m'avait piegé, il m'avait forcé à faire une blague et maintenant je devais aidé une vieille dame, ma mère allait être folle de rage...
Explications :
Voilà ce n'est qu'un exemple, j'espère que ça va t'aider.
J'imagine qu'il faut prendre en compte le grand Michu et ses amis dans la rédaction...
Préparé à détaler, j'avançai mon doigt sur la sonette. J'inspirai un grand coup et signai, enfin, mon appartenance au groupe.
Je m'attendais à un bruit phénoménal, un détonement, une mélodie peut-être, qui me signalerait la réussite de la mission... Mais rien. Aucun bruit: le calme plat.
Intrigué, je me préparais à sonner de nouveau.
"Viens, mais viens!" me crie le grand Michu: je le regarde, abasourdi, assomé, puis la porte s'ouvre dans un grincement et un petit homme trapu et chauve s'avance.
"C'est la fin", me dis-je, les yeux bas, la tête qui tourne. Je me blindai, près à recevoir le coup qui m'achèverait.
"Je peux t'aider, gamin?" La voix masculine me sortit de ma torpeur. Contrairement à ce que j'avais cru, l'homme en me réprimanda pas, ne me frappa pas, et alla même jusqu'à sourire!
Déstabilisé, je me demande si courir est la meilleure option. Je jette un regard en coin au grand Michu: il me regarde avec insistance et déception, comme pour graver mon visage dans sa mémoire, comme si j'allais être enterré demain.
"Euh...", hésitai-je, me balançant d'un pied sur l'autre, "Je..."
"Tu veux un goûter, peut-être?". Si j'étais destabilisé, j'étais maintenant mal à l'aise et déconcerté devant tant de gentilesse. "On parlera de ton école, de mon travail, des gens ici..."
"Avec plaisir, M'sieur!" j'acceptai, tremblant. Je ne serais jamais enrollé dans le groupe désormais, mais je m'étais découvert un allié de la plus grande bonté.
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Réponse :
Je m'apprêtais a courir, quand soudain la porte s'ouvrit. La silhouette d'une vieille dame apparût, je n'avais pas le temps de m'enfuir. Le grand Michu et les autres couraient devant en ricanant. Je devais inventer une excuse, et vite.
-Oui jeune homme, que me veux tu? demanda la vieille femme.
- Je... je voulais... vus proposer de l'aide! Dis-je, en bredouillant.
- C'est adorable mon grand, je viens justement de faire mes courses, tu peux m'aider à les ranger.
Le grand Michu m'avait piegé, il m'avait forcé à faire une blague et maintenant je devais aidé une vieille dame, ma mère allait être folle de rage...
Explications :
Voilà ce n'est qu'un exemple, j'espère que ça va t'aider.
Coucou!
J'imagine qu'il faut prendre en compte le grand Michu et ses amis dans la rédaction...
Préparé à détaler, j'avançai mon doigt sur la sonette. J'inspirai un grand coup et signai, enfin, mon appartenance au groupe.
Je m'attendais à un bruit phénoménal, un détonement, une mélodie peut-être, qui me signalerait la réussite de la mission... Mais rien. Aucun bruit: le calme plat.
Intrigué, je me préparais à sonner de nouveau.
"Viens, mais viens!" me crie le grand Michu: je le regarde, abasourdi, assomé, puis la porte s'ouvre dans un grincement et un petit homme trapu et chauve s'avance.
"C'est la fin", me dis-je, les yeux bas, la tête qui tourne. Je me blindai, près à recevoir le coup qui m'achèverait.
"Je peux t'aider, gamin?" La voix masculine me sortit de ma torpeur. Contrairement à ce que j'avais cru, l'homme en me réprimanda pas, ne me frappa pas, et alla même jusqu'à sourire!
Déstabilisé, je me demande si courir est la meilleure option. Je jette un regard en coin au grand Michu: il me regarde avec insistance et déception, comme pour graver mon visage dans sa mémoire, comme si j'allais être enterré demain.
"Euh...", hésitai-je, me balançant d'un pied sur l'autre, "Je..."
"Tu veux un goûter, peut-être?". Si j'étais destabilisé, j'étais maintenant mal à l'aise et déconcerté devant tant de gentilesse. "On parlera de ton école, de mon travail, des gens ici..."
"Avec plaisir, M'sieur!" j'acceptai, tremblant. Je ne serais jamais enrollé dans le groupe désormais, mais je m'étais découvert un allié de la plus grande bonté.
Voilà! Ca te va?
Bonne journée, tu gères ; )
Lou-Anne