Bonjour, qui pourrais m'aider à répondre à ces questions ? Merci d'avance C'est pour un exercice oral en français
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MALIKFC
1. Ce poème est composé de 4 quatrains en alexandrin (12 syllabes par vers) et ce sont des rimes croisées (ABAB). 2.Il s'exprime à la première personne du singulier "je". Il s'adresse à sa fille décédée Léopoldine. 3. Il date du 3 septembre 1847. Il renvoie à l'anniversaire de la mort de sa fille c'est-à-dire le 4 septembre 1843. 4. a. Le poète se rend au cimetière sur la tombe de sa fille, pour y fêter "l'anniversaire" de sa mort et lui déposer un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. b. L'expression "je sais que tu m'attends" laisse penser qu'il a rendez-vous avec sa fille. 5. Dans le premier vers on peut voir une allitération avec les mots "demain" et "dès" et une seconde dans le quatrième vers: "puis" "plus". Les verbes de mouvement sot conjugués au futur antérieur. Le rejet de l'enjambement du premier vers est "je partirai". 6. On peut voir dans les vers 3 et 4 que la cadence est régulière grâce à l'anaphore avec "j'irai" et que le poète est déterminé pour rejoindre sa fille. 7. a. La tristesse du père en deuil est démontrée par "les yeux fixés sur mes pensées"; "seul"; "inconnu"; "le dos courbé"; "les mains croisées"; "triste". En fait toute la deuxième strophe est dédié à sa tristesse. b. Le mot triste du vers 8 est mis en valeur par un enjambement, il est donc le rejet de celui-ci. La tristesse est encore plus forte avec cette comparaison dans laquelle il évoque que depuis la mort de sa fille ne sont plus que tristes, que ces journées sont toutes aussi sombres que la nuit. 8. a. Il dit: "je marcherai les yeux fixés sur mes pensées" il veut donc dire par-là qu'il ne fait même pas attention au paysages, qu'il pense seulement à sa peine. "sans rien voir dehors, sans entendre aucun bruit"; "je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, ni les voiles au loin descendant vers Harfleurs" b. En revanche il le décrit tout de même aux vers 1 et 9 par ces métaphores: "à l'heure où blanchit la campagne" et "je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe" il décrit par-là les étoiles malgré qu'il dit ne pas les regarder. 9. a. Le verbe "j'arriverai" fait écho au verbe "j'irai". Après être parti dn direction de la tombe de la défunte il y arrive enfin. b. Il marche dans le but de trouver la tombe de Léopoldine. Tout ce périple pour enfin retrouver sa fille partie trop tôt. 10. a. Victor Hugo offre à sa fille un bouquet de houx et de bruyère. Ce sont deux plantes très robustes qui peuvent vivre des siècles. Il a certainement orné sa tombe de ces plantes pour lui prouver son immortalité auprès d'elle, qu'il lui portera toujours un immense amour immortel et que dans son cœur elle sera toujours vivante. b. Le poète cherche à montrer tout simplement que l'amour est plus fort que la mort, que malgré la tristesse on ne peut cesser d'aimer une personne décédée.
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2.Il s'exprime à la première personne du singulier "je". Il s'adresse à sa fille décédée Léopoldine.
3. Il date du 3 septembre 1847. Il renvoie à l'anniversaire de la mort de sa fille c'est-à-dire le 4 septembre 1843.
4. a. Le poète se rend au cimetière sur la tombe de sa fille, pour y fêter "l'anniversaire" de sa mort et lui déposer un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
b. L'expression "je sais que tu m'attends" laisse penser qu'il a rendez-vous avec sa fille.
5. Dans le premier vers on peut voir une allitération avec les mots "demain" et "dès" et une seconde dans le quatrième vers: "puis" "plus". Les verbes de mouvement sot conjugués au futur antérieur. Le rejet de l'enjambement du premier vers est "je partirai".
6. On peut voir dans les vers 3 et 4 que la cadence est régulière grâce à l'anaphore avec "j'irai" et que le poète est déterminé pour rejoindre sa fille.
7. a. La tristesse du père en deuil est démontrée par "les yeux fixés sur mes pensées"; "seul"; "inconnu"; "le dos courbé"; "les mains croisées"; "triste". En fait toute la deuxième strophe est dédié à sa tristesse.
b. Le mot triste du vers 8 est mis en valeur par un enjambement, il est donc le rejet de celui-ci. La tristesse est encore plus forte avec cette comparaison dans laquelle il évoque que depuis la mort de sa fille ne sont plus que tristes, que ces journées sont toutes aussi sombres que la nuit.
8. a. Il dit: "je marcherai les yeux fixés sur mes pensées" il veut donc dire par-là qu'il ne fait même pas attention au paysages, qu'il pense seulement à sa peine. "sans rien voir dehors, sans entendre aucun bruit"; "je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, ni les voiles au loin descendant vers Harfleurs"
b. En revanche il le décrit tout de même aux vers 1 et 9 par ces métaphores: "à l'heure où blanchit la campagne" et "je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe" il décrit par-là les étoiles malgré qu'il dit ne pas les regarder.
9. a. Le verbe "j'arriverai" fait écho au verbe "j'irai". Après être parti dn direction de la tombe de la défunte il y arrive enfin.
b. Il marche dans le but de trouver la tombe de Léopoldine. Tout ce périple pour enfin retrouver sa fille partie trop tôt.
10. a. Victor Hugo offre à sa fille un bouquet de houx et de bruyère. Ce sont deux plantes très robustes qui peuvent vivre des siècles. Il a certainement orné sa tombe de ces plantes pour lui prouver son immortalité auprès d'elle, qu'il lui portera toujours un immense amour immortel et que dans son cœur elle sera toujours vivante.
b. Le poète cherche à montrer tout simplement que l'amour est plus fort que la mort, que malgré la tristesse on ne peut cesser d'aimer une personne décédée.