La situation des enfants et des femmes enceintes en générales dans les camps de concentration :
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les enfants et les femmes enceintes juifs étaient déportés dans les camps de concentration en Allemagne, leurs conditions de vie étaient différentes selon les années. Les enfants étaient les premières victimes des tortionnaires pour l’extermination nazie. A l’exemple du camp de Ravensbrück, situé au nord de Berlin, où ces conditions étaient en vigueur. Une pièce était réservée dans le block du Revier, la « Kiderzimmer » pour les femmes enceintes, dans cette pièce la survie des enfants ne dépassait pas trois semaines.
Les conditions de détention se sont modifiées au cours du temps et selon les camps :
En 1942, les femmes enceintes se faisaient avorter par ordre des médecins SS dont la grossesse était inférieure à huit mois ou on les tuait.
En 1943, le docteur Treite voulut attendre que la mère accouche pour étrangler ou noyer l’enfant en présence de celle-ci. A la fin de cette même année, on laissa en vie les nouveaux nés, cependant il n’y avait aucune structure pour accueillir ces nourrissons, donc ils mourraient très vite faute de soins et d’attention. Dans cette même année, la condition des nouveaux nés était modifiées, les enfants qui avaient les cheveux blonds et les yeux bleus étaient retirés à leurs mères et envoyés à Naklo (un camp) pour devenir Allemand.
A partir de 1944, les femmes enceintes venant de Hongrie étaient gazées. De 1943 à 1945, 863 enfants sont nés mais la plupart d’entre eux sont morts de faims ou de froids ou de maladies, seulement trois Français ont survécu dans les derniers mois.
La vie quotidienne dans les camps de concentration :
La vie quotidienne des enfants était semblable à celle des adultes, cependant des prisonnières essaient de la rendre la meilleur possible. Le matin, les détenues étaient réveillées par la sirène à trois heure trente du matin, certains faisaient le café, d’autres s’habillaient et refaisaient les lits. Il faisait toujours froid et noir dans les blocks. Pour accéder aux toilettes et aux lavabos, il fallait à chaque fois faire une queue, il y avait en moyenne dix WC pour 1 000 femmes. Après tout ceci, les SS effectuaient l’appel des habitants des blocks.
Dans les camps, l’alimentation consistait à un-demi litre d’eau, à de la soupe à l’eau, qui contenait quelques légumes, ce n’était pas suffisant pour des personnes qui travaillaient douze à quinze heures par jour.
Les 1000 calories reçues étaient le minimum vital pour un individu au repos alors qu’ils travaillaient plus d’une journée Les détenues dormaient sur des châlits de bois ou en ciment, ils étaient très serrés : environ 70 centimètres pour deux à trois personnes. La nuit, ils avaient des douleurs dans tous le corps à cause des travaux effectués au cours de la journée et de la maltraitance des S.S, ou des poux de corps qui étaient déjà présents dans les couvertures et les habits, mais avant de s’endormir, les adultes racontaient des recettes aux enfants. Lorsqu'ils dormaient ou se reposaient, les détenus dont les adolescents gardaient sur leurs poitrines leurs biens personnels, notamment les écuelles ou autres objets servant pour la survie dans le camp. Les enfant ne pouvaient pas garder des objets sur eux, en raison des voles et de leur faible physique. Ils portaient toujours les mêmes vêtements sales et remplient de poux de corps.
Outre la sous-nutrition ou le manque d’hygiène, les détenus mouraient aussi de la brutalité des SS, des assassinats perpétrés par eux et de l’absence de repos physique et psychologique des prisonniers. Les détenus se suicidaient certaines fois afin de ne plus endurer ces souffrances. Les détenus travaillaient pour enrichir l’industrie Allemande Et son économie. A la fin de la guerre, les détenues affluaient, les conditions de vie devenaient de plus en plus insoutenables, les blocks étaient surpeuplés. Des personnes dormaient par terre, dans les lavabos. Il n’y avait plus assez de robinets et de toilettes. Les appels du soir étaient supprimés, la nourriture avait diminué de 200 g par personne
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La situation des enfants et des femmes enceintes en générales dans les camps de concentration :
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les enfants et les femmes enceintes juifs étaient déportés dans les camps de concentration en Allemagne, leurs conditions de vie étaient différentes selon les années. Les enfants étaient les premières victimes des tortionnaires pour l’extermination nazie. A l’exemple du camp de Ravensbrück, situé au nord de Berlin, où ces conditions étaient en vigueur. Une pièce était réservée dans le block du Revier, la « Kiderzimmer » pour les femmes enceintes, dans cette pièce la survie des enfants ne dépassait pas trois semaines.
Les conditions de détention se sont modifiées au cours du temps et selon les camps :
En 1942, les femmes enceintes se faisaient avorter par ordre des médecins SS dont la grossesse était inférieure à huit mois ou on les tuait.
En 1943, le docteur Treite voulut attendre que la mère accouche pour étrangler ou noyer l’enfant en présence de celle-ci. A la fin de cette même année, on laissa en vie les nouveaux nés, cependant il n’y avait aucune structure pour accueillir ces nourrissons, donc ils mourraient très vite faute de soins et d’attention. Dans cette même année, la condition des nouveaux nés était modifiées, les enfants qui avaient les cheveux blonds et les yeux bleus étaient retirés à leurs mères et envoyés à Naklo (un camp) pour devenir Allemand.
A partir de 1944, les femmes enceintes venant de Hongrie étaient gazées. De 1943 à 1945, 863 enfants sont nés mais la plupart d’entre eux sont morts de faims ou de froids ou de maladies, seulement trois Français ont survécu dans les derniers mois.
La vie quotidienne dans les camps de concentration :
La vie quotidienne des enfants était semblable à celle des adultes, cependant des prisonnières essaient de la rendre la meilleur possible. Le matin, les détenues étaient réveillées par la sirène à trois heure trente du matin, certains faisaient le café, d’autres s’habillaient et refaisaient les lits. Il faisait toujours froid et noir dans les blocks. Pour accéder aux toilettes et aux lavabos, il fallait à chaque fois faire une queue, il y avait en moyenne dix WC pour 1 000 femmes. Après tout ceci, les SS effectuaient l’appel des habitants des blocks.
Dans les camps, l’alimentation consistait à un-demi litre d’eau, à de la soupe à l’eau, qui contenait quelques légumes, ce n’était pas suffisant pour des personnes qui travaillaient douze à quinze heures par jour.
Les 1000 calories reçues étaient le minimum vital pour un individu au repos alors qu’ils travaillaient plus d’une journée Les détenues dormaient sur des châlits de bois ou en ciment, ils étaient très serrés : environ 70 centimètres pour deux à trois personnes. La nuit, ils avaient des douleurs dans tous le corps à cause des travaux effectués au cours de la journée et de la maltraitance des S.S, ou des poux de corps qui étaient déjà présents dans les couvertures et les habits, mais avant de s’endormir, les adultes racontaient des recettes aux enfants. Lorsqu'ils dormaient ou se reposaient, les détenus dont les adolescents gardaient sur leurs poitrines leurs biens personnels, notamment les écuelles ou autres objets servant pour la survie dans le camp. Les enfant ne pouvaient pas garder des objets sur eux, en raison des voles et de leur faible physique. Ils portaient toujours les mêmes vêtements sales et remplient de poux de corps.
Outre la sous-nutrition ou le manque d’hygiène, les détenus mouraient aussi de la brutalité des SS, des assassinats perpétrés par eux et de l’absence de repos physique et psychologique des prisonniers. Les détenus se suicidaient certaines fois afin de ne plus endurer ces souffrances. Les détenus travaillaient pour enrichir l’industrie Allemande Et son économie. A la fin de la guerre, les détenues affluaient, les conditions de vie devenaient de plus en plus insoutenables, les blocks étaient surpeuplés. Des personnes dormaient par terre, dans les lavabos. Il n’y avait plus assez de robinets et de toilettes. Les appels du soir étaient supprimés, la nourriture avait diminué de 200 g par personne