L’homme est libre de faire ses propres choix dans la mesure où il assume et devient responsable de ses actes, mais tous les choix ne sont pas toujours les bons. En effet, ce qui distingue les bons des mauvais choix, ce sont les conséquences. Or les conséquences d’un acte sont dues à des réactions extérieures. En effet, si les hommes étaient totalement libres, qu’il n’y avait aucune loi et aucune règle à respecter, ils ne réfléchiraient pas aux conséquences de leurs actes puisqu’ils n’y en auraient pas. Pour reprendre l’exemple de la légalité, si le mal et le bien ne se distinguaient pas, l’anarchie régnerait sur le monde puisque chacun agirait dans l’intérêt de sa volonté sans se préoccuper des répercutions que cela pourrait avoir chez les autres. Le célèbre proverbe français "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" illustre cette idée tout en la résumant. En effet, la liberté est limitée, car pour que chaque être soit autant libre que son voisin, il faut la partager. Si l’on revient à l’exemple de la démocratie qui prône la liberté et l’égalité des citoyens, on peut à présent dire que les hommes sont définitivement libres mais pour que tous les hommes le soient équitablement, cette liberté doit être contrôlée pour être correctement répartie. Fondamentalement, tout homme est libre de penser et d’agir, or la pensée n’est pas visible tant qu’on ne l’exprime pas, tandis que les paroles et les actes sont visibles. Pour autant, si un homme veut absolument suivre sa volonté malgré les conséquences de l’acte qu’il s’apprête à faire, il en est capable. Mais ces conséquences sont justement là pour dissuader; à ce moment-là ce n’est plus la volonté qui gouverne l’homme mais sa raison. En effet il existe une raison universelle, les hommes sont en majorités réalistes, ils réfléchissent avant d’agir, grâce à ce contrôle permanent de la liberté, créé depuis que l’homme forme des hiérarchies, sachant que même chez les animaux, il y a une hiérarchie, on en déduit que celle des hommes a débuté il y a bien longtemps. La totale liberté n’est donc probablement qu’un sentiment puisqu’elle a toujours été limitée par l’homme lui-même, pour une meilleure organisation de vie en général. Toutefois, nous pouvons utiliser en guise de contre-exemple un évènement sur lequel aucun homme n’a de prise, où personne n’a le choix : la mort. En effet, l’homme ne pourra jamais choisir entre vivre ou mourir si son heure est venue.
La liberté n’est qu’une illusion, car l’homme n’est jamais totalement libre, il peut être commandé par ses désirs, ses besoins, des puissances extérieures ou des causes quelconques mais ne peut pas toujours suivre sa volonté. De plus c’est l’homme lui-même qui a forgé ces contraintes. Être libre, est-ce avoir le choix ? Avoir le choix n’est qu’une forme de liberté car la liberté en elle-même n’existe pas réellement, ce n’est qu’une illusion créée par l’homme pour l’homme. De plus, on peut se retrouver dans des situations critiques où un choix est à faire et pourtant on est loin de se sentir libre. La réciproque du sujet ne se vérifie pas toujours : Être libre c’est avoir le choix mais avoir le choix ne signifie pas toujours être libre.
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Bonjour
L’homme est libre de faire ses propres choix dans la mesure où il assume et devient responsable de ses actes, mais tous les choix ne sont pas toujours les bons. En effet, ce qui distingue les bons des mauvais choix, ce sont les conséquences. Or les conséquences d’un acte sont dues à des réactions extérieures. En effet, si les hommes étaient totalement libres, qu’il n’y avait aucune loi et aucune règle à respecter, ils ne réfléchiraient pas aux conséquences de leurs actes puisqu’ils n’y en auraient pas. Pour reprendre l’exemple de la légalité, si le mal et le bien ne se distinguaient pas, l’anarchie régnerait sur le monde puisque chacun agirait dans l’intérêt de sa volonté sans se préoccuper des répercutions que cela pourrait avoir chez les autres. Le célèbre proverbe français "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" illustre cette idée tout en la résumant. En effet, la liberté est limitée, car pour que chaque être soit autant libre que son voisin, il faut la partager. Si l’on revient à l’exemple de la démocratie qui prône la liberté et l’égalité des citoyens, on peut à présent dire que les hommes sont définitivement libres mais pour que tous les hommes le soient équitablement, cette liberté doit être contrôlée pour être correctement répartie. Fondamentalement, tout homme est libre de penser et d’agir, or la pensée n’est pas visible tant qu’on ne l’exprime pas, tandis que les paroles et les actes sont visibles. Pour autant, si un homme veut absolument suivre sa volonté malgré les conséquences de l’acte qu’il s’apprête à faire, il en est capable. Mais ces conséquences sont justement là pour dissuader; à ce moment-là ce n’est plus la volonté qui gouverne l’homme mais sa raison. En effet il existe une raison universelle, les hommes sont en majorités réalistes, ils réfléchissent avant d’agir, grâce à ce contrôle permanent de la liberté, créé depuis que l’homme forme des hiérarchies, sachant que même chez les animaux, il y a une hiérarchie, on en déduit que celle des hommes a débuté il y a bien longtemps. La totale liberté n’est donc probablement qu’un sentiment puisqu’elle a toujours été limitée par l’homme lui-même, pour une meilleure organisation de vie en général. Toutefois, nous pouvons utiliser en guise de contre-exemple un évènement sur lequel aucun homme n’a de prise, où personne n’a le choix : la mort. En effet, l’homme ne pourra jamais choisir entre vivre ou mourir si son heure est venue.
La liberté n’est qu’une illusion, car l’homme n’est jamais totalement libre, il peut être commandé par ses désirs, ses besoins, des puissances extérieures ou des causes quelconques mais ne peut pas toujours suivre sa volonté. De plus c’est l’homme lui-même qui a forgé ces contraintes. Être libre, est-ce avoir le choix ? Avoir le choix n’est qu’une forme de liberté car la liberté en elle-même n’existe pas réellement, ce n’est qu’une illusion créée par l’homme pour l’homme. De plus, on peut se retrouver dans des situations critiques où un choix est à faire et pourtant on est loin de se sentir libre. La réciproque du sujet ne se vérifie pas toujours : Être libre c’est avoir le choix mais avoir le choix ne signifie pas toujours être libre.