1) Pourquoi les Lumières mettent-elles en question la religion ?
Les Lumières mettent en question la religion car elles annonçent rendre possible la prise en main par l’humanité de son propre destin. Les lumièresattaquent l’Église, non la foi en certifiant que c'est les projets d'avenir des hommes est ce qui doit les orienter dans la vie. Elles veulent également prouver qu'on peut vivre sans lois, ni église et vivre heureux.
2) Sur quoi porte la critique religieuse ?
La critique religieuse porte sur la structure de la société, non sur le contenu des croyances : on attaque l’Église, non la foi.
3) Quelleforme de croyance défendent-ils ?
Il défende uen forme de croyance qui consiste à adopter une attitude de tolérance et à une défense de la liberté de conscience qu’illustrent Lessing ou Voltaire, notamment au moment de l’affaire Calas.
Il se réclame, non de l’athéisme, mais de la religion naturelle, du déisme, ou d’une de leurs nombreuses variantes.
4) Sur quelles observation repose la critiquereligieuse des Lumières ?
Les hommes des Lumières observent et décrivent toutes les croyances : des religions proches, comme le judaïsme et l’islam, ou des religions plus lointaines, celles de l’Inde et de la Chine, mais celles aussi des païens en Océanie, en Afrique noire ou en Amérique
5) Quels modéles inspirent les philosophes ?
Les modéles qui inspirent les philosophes sont les explorateurstel que Bougainville.
6) A quoi vise cette critique de la religion ?
Cette critique de la religion vise à donner aux peuple la possibilité de disposer d'une entière liberté de choisir son destin par soi-même et que dans leurs esprit seule une morale naturelle organise leurs sociétés.
Synthèse
Musulmans et juifs, Indiens et Chinois, païens d'Afrique et d'Amérique sont l'objet de la mêmecuriosité. Il faut laisser à chaque pays le choix de ses croyances et à chaque individu la liberté de sa conscience. Le désir de convertir les autres doit céder le pas à la tolérance, aussi bien entre catholiques et protestants qu'entre chrétiens et non-chrétiens, ou croyants et no n-croyants.
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1) Pourquoi les Lumières mettent-elles en question la religion ?
Les Lumières mettent en question la religion car elles annonçent rendre possible la prise en main par l’humanité de son propre destin. Les lumièresattaquent l’Église, non la foi en certifiant que c'est les projets d'avenir des hommes est ce qui doit les orienter dans la vie. Elles veulent également prouver qu'on peut vivre sans lois, ni église et vivre heureux.
2) Sur quoi porte la critique religieuse ?
La critique religieuse porte sur la structure de la société, non sur le contenu des croyances : on attaque l’Église, non la foi.
3) Quelleforme de croyance défendent-ils ?
Il défende uen forme de croyance qui consiste à adopter une attitude de tolérance et à une défense de la liberté de conscience qu’illustrent Lessing ou Voltaire, notamment au moment de l’affaire Calas.
Il se réclame, non de l’athéisme, mais de la religion naturelle, du déisme, ou d’une de leurs nombreuses variantes.
4) Sur quelles observation repose la critiquereligieuse des Lumières ?
Les hommes des Lumières observent et décrivent toutes les croyances : des religions proches, comme le judaïsme et l’islam, ou des religions plus lointaines, celles de l’Inde et de la Chine, mais celles aussi des païens en Océanie, en Afrique noire ou en Amérique
5) Quels modéles inspirent les philosophes ?
Les modéles qui inspirent les philosophes sont les explorateurstel que Bougainville.
6) A quoi vise cette critique de la religion ?
Cette critique de la religion vise à donner aux peuple la possibilité de disposer d'une entière liberté de choisir son destin par soi-même et que dans leurs esprit seule une morale naturelle organise leurs sociétés.
Synthèse
Musulmans et juifs, Indiens et Chinois, païens d'Afrique et d'Amérique sont l'objet de la mêmecuriosité. Il faut laisser à chaque pays le choix de ses croyances et à chaque individu la liberté de sa conscience. Le désir de convertir les autres doit céder le pas à la tolérance, aussi bien entre catholiques et protestants qu'entre chrétiens et non-chrétiens, ou croyants et no n-croyants.