1. Le spectateur est ému en écoutant le monologue de Rodrigue. IL assiste à un monologue qui révèle tout haut les pensées du personnage.
2. Rodrigue s'adresse à lui-même. Il essaie de faire la clarté dans la confusion qui est la sienne.
3. Les strophes se terminent par l'expression d'une antithèse. C'est la dualité à laquelle il est confronté : l'honneur ou l'amour. Un choix impossible.
4. Le champ lexical de la souffrance : "percé jusques au fond du coeur, tue, peine, mortelle, mon mal, malheureux, ma peine.
Ce registre pathétique est destiné à émouvoir.
5. Alors qu'on avait écouté des alexandrin s(vers de 12 syllabes), dans le monologue, le mètre est irrégulier : 8, 12, 6, 10 ...
Ces variations montrent un personnage perturbé et le vers irrégulier traduit les variations de son état d'esprit.
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Réponse :
1. Le spectateur est ému en écoutant le monologue de Rodrigue. IL assiste à un monologue qui révèle tout haut les pensées du personnage.
2. Rodrigue s'adresse à lui-même. Il essaie de faire la clarté dans la confusion qui est la sienne.
3. Les strophes se terminent par l'expression d'une antithèse. C'est la dualité à laquelle il est confronté : l'honneur ou l'amour. Un choix impossible.
4. Le champ lexical de la souffrance : "percé jusques au fond du coeur, tue, peine, mortelle, mon mal, malheureux, ma peine.
Ce registre pathétique est destiné à émouvoir.
5. Alors qu'on avait écouté des alexandrin s(vers de 12 syllabes), dans le monologue, le mètre est irrégulier : 8, 12, 6, 10 ...
Ces variations montrent un personnage perturbé et le vers irrégulier traduit les variations de son état d'esprit.
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