Bonjour tout le monde est ce que vous pouvez me donner le résumé de cette nouvelle ? merci beaucoup le cauchemar d'une journée:
En cette journée froide d’hiver, Aline, une jeune femme talentueuse et déterminée, se trouvait, comme tous les matins, dans une pièce où le soleil venait pénétrer par une petite fenêtre qui se trouvait tout au fond. Aujourd’hui, il y avait dans la pièce une atmosphère qu’ Aline ne pouvait décrire, mais qui la mettait dans un état dans lequel elle n’avait jamais été. Aline pensa aux nombreuses heures qu’elle avait dû accorder pour que le tout soit parfait et espérait de tout son cœur qu’elles allaient porter fruits. Perdue dans son monde intérieur, elle se laissa emporter dans ses pensées.
Après un certain temps, la porte de la pièce s’ouvrit d’un grand élan qui fit sursauter Aline et qui la détacha du monde dans lequel elle flottait. Un homme dans la cinquantaine, qui ne paraissait pas son âge avec ses cheveux d’un gris assez voyant et les nombreuses rides dont regorgeaient son visage, lui annonça d’une voix grave qu’elle devait être prête dans les vingt minutes qui suivaient. Aline sentit le stress monter en elle comme un volcan en éruption. Elle se dit qu’elle n’aurait jamais osé faire ce qu’elle s’apprêtait à faire dans les minutes suivantes. Le sentiment qu’elle ressentait était si fort qu’il la chambardait de tout bord et de tout côté à l’intérieur, comme une armée qui se bat sans aucune pitié.
D’un bond, Aline se leva encore inondée de stress et se dirigea vers la porte, celle qu’elle craignait tant. Soudain, un homme sortit et lui confia qu’il n’avait jamais ressenti un sentiment aussi désagréable de toute sa vie. On pouvait remarquer les traits de désespoir que montraient son visage. Aline sentit ses jambes frémir sous l’emprise de la peur. Elle s’imagina le pire et se dit qu’il était trop tard pour renoncer à son pire cauchemar.
L’homme la regarda intensément et la rassura en lui disant qu’elle était sûrement plus chanceuse que lui dans la vie. Il fit demi-tour et partit, tête baissée, en direction de la sortie.
Précipitamment, Aline se rapprocha de la porte et tendit l’oreille. Elle entendit l’excitation et l’impatience qui remplissait la pièce. Peu de temps après, un bras se posa sur son épaule, c’était l’homme à la voix grave. Il fit un signe de la main, voulant ainsi montrer à Aline qu’elle devait le suivre. Celui-ci, s’arrêta dans un endroit sombre et lui dit que c’était à son tour de passer à l’acte. Aline respira à fond et s’avança vers l’endroit que l’homme lui indiquait. Elle prit son courage à deux mains et fit le grand saut. Un roulement de tambour suivi d’une lumière aveuglante l’accompagna lors de son exploit.
Après avoir donné tout ce qu’elle avait, le jeune homme qu’elle avait croisé auparavant vint la voir et lui demanda comment s’était passé l’événement. Aline, répondit fièrement : «Ah! mon discours? À la perfection!»
En cette journée froide d’hiver, Aline, une jeune femme talentueuse et déterminée, se trouvait, comme tous les matins, dans une pièce où le soleil venait pénétrer par une petite fenêtre qui se trouvait tout au fond. Aujourd’hui, il y avait dans la pièce une atmosphère qu’ Aline ne pouvait décrire, mais qui la mettait dans un état dans lequel elle n’avait jamais été. Aline pensa aux nombreuses heures qu’elle avait dû accorder pour que le tout soit parfait et espérait de tout son cœur qu’elles allaient porter fruits. Perdue dans son monde intérieur, elle se laissa emporter dans ses pensées.
Après un certain temps, la porte de la pièce s’ouvrit d’un grand élan qui fit sursauter Aline et qui la détacha du monde dans lequel elle flottait. Un homme dans la cinquantaine, qui ne paraissait pas son âge avec ses cheveux d’un gris assez voyant et les nombreuses rides dont regorgeaient son visage, lui annonça d’une voix grave qu’elle devait être prête dans les vingt minutes qui suivaient. Aline sentit le stress monter en elle comme un volcan en éruption. Elle se dit qu’elle n’aurait jamais osé faire ce qu’elle s’apprêtait à faire dans les minutes suivantes. Le sentiment qu’elle ressentait était si fort qu’il la chambardait de tout bord et de tout côté à l’intérieur, comme une armée qui se bat sans aucune pitié.
D’un bond, Aline se leva encore inondée de stress et se dirigea vers la porte, celle qu’elle craignait tant. Soudain, un homme sortit et lui confia qu’il n’avait jamais ressenti un sentiment aussi désagréable de toute sa vie. On pouvait remarquer les traits de désespoir que montraient son visage. Aline sentit ses jambes frémir sous l’emprise de la peur. Elle s’imagina le pire et se dit qu’il était trop tard pour renoncer à son pire cauchemar.
L’homme la regarda intensément et la rassura en lui disant qu’elle était sûrement plus chanceuse que lui dans la vie. Il fit demi-tour et partit, tête baissée, en direction de la sortie.
Précipitamment, Aline se rapprocha de la porte et tendit l’oreille. Elle entendit l’excitation et l’impatience qui remplissait la pièce. Peu de temps après, un bras se posa sur son épaule, c’était l’homme à la voix grave. Il fit un signe de la main, voulant ainsi montrer à Aline qu’elle devait le suivre. Celui-ci, s’arrêta dans un endroit sombre et lui dit que c’était à son tour de passer à l’acte. Aline respira à fond et s’avança vers l’endroit que l’homme lui indiquait. Elle prit son courage à deux mains et fit le grand saut. Un roulement de tambour suivi d’une lumière aveuglante l’accompagna lors de son exploit.
Après avoir donné tout ce qu’elle avait, le jeune homme qu’elle avait croisé auparavant vint la voir et lui demanda comment s’était passé l’événement. Aline, répondit fièrement : «Ah! mon discours? À la perfection!»
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