Bonjour urgent merci beaucoup imaginé un texte fantastique a partir de l image suivante
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sacepefabien
On voit sur l image une sorte de grotte le fait que nous ne distinguons rien precisement cela donne un effet de fantastique
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Ollie
A cause de l'abbaye en ruines, des cyprès (arbres de cimetière, souvent), des oiseaux noirs (corbeaux ?), des portes ouvertes et du ciel de tempête, tu peux imaginer que le lieu est maudit ou hanté, ou encore qu'il ouvre des portes vers l'au-delà, qu'on peut passer de la vie à la mort en franchissant les portes, par exemple.
Tu peux par exemple commencer ainsi :
Depuis que je l'avais vu, le tableau d'Arnold Böcklin me dérangeait profondément : sa "Ruine au bord de la mer", avec sa façade d'abbaye effondrée, m'évoquait une sorte de visage plat, aux yeux globuleux, en larmes, et dont l'arrête écroulée me rappelait une sorte de nez. Cette image profondément triste me hantait, sans doute aussi à cause de l'ambiance morbide du ciel d'orage tourmenté, des corbeaux annonciateurs de mort, et des cyprès tordus comme une griffe tournée vers le ciel. Plus j'y repensais, plus je m'inquiétais de l'ambiance angoissante du tableau. J'avais l'impression qu'il m'oppressait, comme si une sorte de menace suintait de la toile et...
Bah ! C'était ridicule ! J'avais trop d'imagination. Pourquoi ce tableau bizarre m'obsédait-il à ce point ? Absurde ! J'avais juste les nerfs tendus, et surtout besoin d'une bonne nuit de repos. J'allais donc me coucher.
Je me mis à rêver. J'étais au bord de la mer, je suivais le sentier qui longeait la côte, lorsque soudain, au détour d'un petit bosquet, j'aperçus... Une sueur froide me glaça le dos : c'était l'abbaye du tableau, LA MEME abbaye !!! Le croassement des corbeaux me déchirait les tympans. Les "yeux" de l'abbaye semblaient m'observer. J'étais terrifié. Je voulais m'enfuir à toutes jambes, mais contre ma volonté, mes jambes se mirent en marche d'elles-mêmes et m'amenèrent devant la porte principale, où les ténèbres m'attendaient..."
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le fait que nous ne distinguons rien precisement cela donne un effet de fantastique
Tu peux par exemple commencer ainsi :
Depuis que je l'avais vu, le tableau d'Arnold Böcklin me dérangeait profondément : sa "Ruine au bord de la mer", avec sa façade d'abbaye effondrée, m'évoquait une sorte de visage plat, aux yeux globuleux, en larmes, et dont l'arrête écroulée me rappelait une sorte de nez. Cette image profondément triste me hantait, sans doute aussi à cause de l'ambiance morbide du ciel d'orage tourmenté, des corbeaux annonciateurs de mort, et des cyprès tordus comme une griffe tournée vers le ciel. Plus j'y repensais, plus je m'inquiétais de l'ambiance angoissante du tableau. J'avais l'impression qu'il m'oppressait, comme si une sorte de menace suintait de la toile et...
Bah ! C'était ridicule ! J'avais trop d'imagination. Pourquoi ce tableau bizarre m'obsédait-il à ce point ? Absurde ! J'avais juste les nerfs tendus, et surtout besoin d'une bonne nuit de repos. J'allais donc me coucher.
Je me mis à rêver. J'étais au bord de la mer, je suivais le sentier qui longeait la côte, lorsque soudain, au détour d'un petit bosquet, j'aperçus... Une sueur froide me glaça le dos : c'était l'abbaye du tableau, LA MEME abbaye !!! Le croassement des corbeaux me déchirait les tympans. Les "yeux" de l'abbaye semblaient m'observer. J'étais terrifié. Je voulais m'enfuir à toutes jambes, mais contre ma volonté, mes jambes se mirent en marche d'elles-mêmes et m'amenèrent devant la porte principale, où les ténèbres m'attendaient..."
Libre à toi d'imaginer la suite !