yasmina21012002
Agrandir la policeRétrécir la policeImprimerPartagerLe narrateur, archéologue parisien, arrive à llle (Pyrénées-Orientales) chez M. de Peyrehorade. M. Alphonse, le fils de son hôte, va se marier. Une très belle Vénus romaine de cuivre a été exhumée dans le jardin. Peyrehorade, passionné d’antiquités, la conserve avec fierté bien que les gens en aient peur, la considérant comme une idole maléfique. Elle est en effet tombée sur l’ouvrier qui I’a découverte, lui brisant la jambe. Un vandale qui lui jette une pierre, la reçoit par ricochet. Le narrateur est troublé devant l’expression méchante du visage de bronze, d’autant que, sur la stèle, figure une inscription, « Cave amantem », invitant peut-être à se méfier de son amour. Vendredi, « jour de Vénus » choisi pour les noces, Alphonse se lance dans une partie de paume contre un muletier aragonais, et, pour jouer à son aise passe au doigt de la statue sa bague de diamants. L’Aragonais est battu et promet de se venger. Au moment de reprendre sa bague, Alphonse ne peut la retirer car la statue la retient dans son doigt replié. Après un repas de noce très arrosé et une nuit agitée, la maison s’éveille dans les cris : un crime a été commis…