Bonjour vous pouvez améliorer ma rédaction merci .

Et il disparut dans la nuit. Il marchait dans les bois sombres et humides ,avec le temps glacial . Il était vêtu d'une chemise sale et déchirée par les branches des arbres et boueuse par la terre mouillée, son pantalon quand t'a lui était troué. Il commençais avoir mal au pied. Il s'arrêtait fatigué, il enlevait les épines de ces pieds. Quand tout à coup il entendit un hurlement qui l’effraya . Par la peur il prit ses jambes à ses deux coups et couru d’une vitesse surhumaine . D'un coup, il s'arrêta et vit avec la faibles lueur de la lune devant lui un immense loup . Ses yeux rouge rubis s'illuminait dans la nuit ses longs poiles lui servait à effrayer ses ennemis et de grandes dents pointues tel un lazoird. Charlot suffoquait en silence. La bête commença à se rapprocher du paysans d’une incroyable allure . Les sanglot du jeune commençaient à s'entendre, ses cheveux s’hérissaient , ses dents s’entrechoquaient , il était horrifier , horrifier de mourrir dans une forêt, dévorer par cette monstrueuse bête . Soudain , il entendit un coup de feu. Et tout à coup le loup effreyant se transforma en un loup effrayer et s’enfuiya dans les fin fond des bois.Quand t'à Charlot lui se cacha derrière un arbre. L'homme qui était armé d'un fusil puis apercevoir le jeune homme malgré la faible lumière de qui éclairer les bois , il essaya de distinguer de plus près les traits de ce dernier . Après avoir lu la peur dans le visage du jeune homme , Charlot à pu avoir la pitier de ce chasseur .
- Bonsoir monsieur, que faites-vous dans cette forêt, à cette heure pareille et tout seul? - j'suis par'ti. J'me… uis faché …avc m's prent. Dit-il apeurer et en toujours en pleure. - Vous êtes seul, sale si vous vous voulez vous pouvez venir chez moi. Si cela ne vous dérange point? - Ah…ben oui …j’venons…ben.
-Alors suivez-moi!

Deux jours plus tard, le Chasseur et Charlot se trouvaient à Paris ,une ville qui était rempli de personnes . Charlot admirait la ville , il l’a trouvait sublime et éclatante. La route était long le paysans commençais à s’ennuyer puis tombe dans les bras de son se secoureur .
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