Bonjour vous pouvez corriger ma rédaction et l’ameliorer sur la suite de la nouvelle aux champs de Maupassant la suite de Charlot .
Dans sa tête c'était un carnage . Il ne voulait plus qu'une chose, s'éloigner de ces êtres qui lui ont fait tant de mal , qui l'ont tant fait souffrir . Charlot parcourut la forêt de Brotonne pendant 2 jours . Il commençait à être fatigué et perdait espoir jusqu'à ce que le soir même , il arriva enfin au port du Havre qui était la ville la plus proche et même la seule . La ville était calme et la nuit était tombée . Elle était déserte , pas un bruit , rien . La seule lumière qui éclairait la ville était la lune .
(Vous pouvez améliorer le début , la description du personnage : ses gestes , posture , ces habits ( Charlot est un campagnard pauvre ) et la description de la ville ( maison , ambiante merci d’avance)
Au loin il aperçut une lueur , par pure curiosité il se dirigea vers elle. Ce qui l'intriguait était en réalité la devanture d'un bar. C'était un bar décontracté, un endroit chaleureux qui accueillait tout le monde. Chaque personne qui dépassé le seuil de la petite porte d'entrée se noyait dans ses pensés. Il entra et s'assit au comptoir . Un homme à la peau ridée , courbé , boitant , l'air louche et étrange, il avait des problème... Plutôt , des symptômes de la vieillesse , c'était le patron du bar . IL s'approcha de Charlot qui , par son attitude , montrait sa tristesse . Le vieil homme lui demanda si tout allait bien , Charlot , presque soulagé qu'on s'intéresse à lui , raconta alors toute son histoire . L'homme lui conseilla de boire pour aller mieux . Charlot suivit son conseil , verre après verre . Il but tellement qu'il s'enivra et se mit à parler seul , à s'apitoyer sur son sort , à s'agiter . Le patron exaspéré lui demanda de lui régler ses consommations .
Pensant que ces verres étaient offerts, Charlot était interloqué par les demandes du patron .
Il n'avait plus un sous alors il se fit mettre à la porte . Il n'avait plus de solution si ce n'était de toquer de porte en porte pour tenter de trouver un gite. Cependant, sa recherche resta vaine, alors il erra ivre dans la ville et arriva au port. Désespéré, il hurla qu'il n'avait aucun endroit où aller, où se réfugier pour la nuit, ni pour les jours à venir. Sans famille, sans logement, sans argent, sans ami , sans aucun but ni projet, il n'avait plus aucune raison de vivre, c'est pourquoi il se dirigea vers la jetée, les yeux hagards, le visage blême, la démarche lente et avachie, et arrivé au bout de celle-ci, sans plus penser à rien, sans réfléchir à son geste, tout simplement par désespoir, il se jeta dans le vide...