Bonjour vous pouvez m'aider a cette réécriture svp
Réécrivez le texte suivant en remplaçant Elle par Elles et faites toutes les modifications nécessaires.
Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine. Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles. Elle savonna le linge sale [...] ; elle descendit à la rue, chaque matin, les ordures, et monta l’eau, s’arrêtant à chaque étage pour souffler [...]. Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres. Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers. Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elle s’asseyait auprès de la fenêtre, et elle songeait à cette soirée d’autrefois, à ce bal où elle avait été si belle et si fêtée.
Elles connurent les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine. Elles lavèrent la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles. Elles savonnèrent le linge sale [...] ; elles descendirent à la rue, chaque matin, les ordures, et montèrent l’eau, s’arrêtant à chaque étage pour souffler [...]. Elles étaient devenues la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres. Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elles parlaient haut, lavait à grande eau les planchers. Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elles s’asseyaient auprès de la fenêtre, et elles songeait à cette soirée d’autrefois, à ce bal où elles avaient été si belles et si fêtées.
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Réponse:
bonjour, Voici ce que je propose :
Explications:
Elles connurent les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine. Elles lavèrent la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles. Elles savonnèrent le linge sale [...] ; elles descendirent à la rue, chaque matin, les ordures, et montèrent l’eau, s’arrêtant à chaque étage pour souffler [...]. Elles étaient devenues la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres. Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elles parlaient haut, lavait à grande eau les planchers. Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elles s’asseyaient auprès de la fenêtre, et elles songeait à cette soirée d’autrefois, à ce bal où elles avaient été si belles et si fêtées.
j'espère que ma réponse te plaira^^.