Un des grands moteurs de la poésie qui a connu son apogée avec les romantiques, est la célébration de la nature. En effet, celle-ci est l’un d’une par la manifestation de la grandeur du divin, comme le montre Hugo par exemple à travers ses poème, le lieu qui ramène aussi à l'Homme lui-même: l'automne et les soleils couchants deviennent dès lors des images du déclin de nos vies, alors que le vent symbolisent les émotions du poète lui-même.
La nature est aussi un formidable moyen de transfigurer le réel et d’avoir une méditation profonde sur celle-ci.
Les poètes surréalistes n’ont pas réussi à changer le monde mais ils ont libéré la poésie de ses formes fixes. Ils lui ont permis d’exprimer toutes les émotions sans les contraintes de la rime. Le mouvement surréaliste fut très important pour l’évolution de la poésie. Cependant les surréalistes réalisèrent que tout ce qui venait de l’inconscient n’était pas toujours génial, que l’inconscient pouvait aussi conduire l’esprit à la folie. Les poètes abandonnèrent ces pratiques pour revenir à l’écoute de l’inspiration véritable. C’est à dire quand l’esprit contrôle le subconscient et l’intègre à sa pensée et à ses émotions.
Le rêve et l’envie d’évasion sont tellement puissants que le poète parvient à créer un monde particulier. Ainsi Victor Hugo, "Le poète en des jours impies vint préparer des jours meilleurs. Il est l’Homme des utopies, Les pieds ici, les yeux ailleurs" dans "les rayons et les ombres", définit un endroit idéal. Ce monde irréel, construit dans un décor artificiel, est décrit grâce à de nombreux procédés très courants dans la poésie, comme dans Les Fleurs du mal, la métaphore filée de "l’Albatros" où le poète est comparé à un oiseau, ou encore comme la périphrase "le prince des nuées" qui qualifie le poète, ou comme l’exagération "ses ailes de géant". La poésie est donc la transformation du langage ordinaire en cherchant à tirer parti de toutes les ressources de la langue : lexicales, syntaxiques, sonores (allitérations, assonance) et rythmiques. En effet, lorsqu’on étudie l’étymologie du mot "poésie", on se rend compte qu’il signifie "création" : ce qui pourrait amener l’écrivain à choisir la poésie pour créer un monde nouveau dont le lecteur se sentirait proche
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Un des grands moteurs de la poésie qui a connu son apogée avec les romantiques, est la célébration de la nature. En effet, celle-ci est l’un d’une par la manifestation de la grandeur du divin, comme le montre Hugo par exemple à travers ses poème, le lieu qui ramène aussi à l'Homme lui-même: l'automne et les soleils couchants deviennent dès lors des images du déclin de nos vies, alors que le vent symbolisent les émotions du poète lui-même.
La nature est aussi un formidable moyen de transfigurer le réel et d’avoir une méditation profonde sur celle-ci.
Les poètes surréalistes n’ont pas réussi à changer le monde mais ils ont libéré la poésie de ses formes fixes. Ils lui ont permis d’exprimer toutes les émotions sans les contraintes de la rime. Le mouvement surréaliste fut très important pour l’évolution de la poésie. Cependant les surréalistes réalisèrent que tout ce qui venait de l’inconscient n’était pas toujours génial, que l’inconscient pouvait aussi conduire l’esprit à la folie. Les poètes abandonnèrent ces pratiques pour revenir à l’écoute de l’inspiration véritable. C’est à dire quand l’esprit contrôle le subconscient et l’intègre à sa pensée et à ses émotions.
Le rêve et l’envie d’évasion sont tellement puissants que le poète parvient à créer un monde particulier. Ainsi Victor Hugo, "Le poète en des jours impies vint préparer des jours meilleurs. Il est l’Homme des utopies, Les pieds ici, les yeux ailleurs" dans "les rayons et les ombres", définit un endroit idéal. Ce monde irréel, construit dans un décor artificiel, est décrit grâce à de nombreux procédés très courants dans la poésie, comme dans Les Fleurs du mal, la métaphore filée de "l’Albatros" où le poète est comparé à un oiseau, ou encore comme la périphrase "le prince des nuées" qui qualifie le poète, ou comme l’exagération "ses ailes de géant". La poésie est donc la transformation du langage ordinaire en cherchant à tirer parti de toutes les ressources de la langue : lexicales, syntaxiques, sonores (allitérations, assonance) et rythmiques. En effet, lorsqu’on étudie l’étymologie du mot "poésie", on se rend compte qu’il signifie "création" : ce qui pourrait amener l’écrivain à choisir la poésie pour créer un monde nouveau dont le lecteur se sentirait proche