Rosemonita
Quand j’ouvrai enfin les yeux, je fis un mouvement un arrière devant cette nature luxuriante. De multiples nuances de verts m’entouraient, mes yeux parcoururent le moindre centimètre de cette forêt utopique. J’étais émerveillé devant toutes ces fleurs, ces plantes.
Rosemonita
Je fermai les yeux et écoutais minutieusement le chant des oiseaux, le bruissement des feuilles. L’odeur de la nature après la pluie m’effleurait les narines et je fus obliger de pousser un soupir. Cet endroit était un véritable paradis.
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