Bonjour vous pouvez me modifier de poème mais avec plus de description sur une partie corps ( sauf les yeux ) merci.
Voici le poème :
Mamie

Quelle joie quand elle me prenait dans ses bras Mamie 
Quelle joie quand elle venait me chercher le midi 
Pour moi elle n'avait pas d'âge , c'était Mamie
oui, ma Mamie pour toujours et à l'infini

Petite femme boulotte aux cheveux gris
Avec elle , il n'y avait jamais d'ennui 
pour moi , elle préparait de très bons clafoutis
Dans le jardin, je les mangeais c'était exquis 

Et un jour , sans  bruit le ciel l'a appelée
Mais tous mes souvenirs ne sont pas oubliés
Dans mon jardin ,il y a ses fleurs préférées

Je pense à elle et à son sourire édenté
Ses  joues et ses mains qui étaient toutes ridées
Et pourtant,je la voyais de toute beauté


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Aidez moi SVP . Exposer de français. Les points commun entre beauté cruelle de Émile Nelligan et un rêve familier de Paul Verlaine : Beauté cruelle Certe, il ne faut avoir qu'un amour en ce monde, Un amour, rien qu'un seul, tout fantasque soit-il; Et moi qui le recherche ainsi, noble et subtil, Voilà qu'il m'est à l'âme une entaille profonde. Elle est hautaine et belle, et moi timide et laid: Je ne puis l'approcher qu'en des vapeurs de rêve. Malheureux ! Plus je vais, et plus elle s'élève Et dédaigne mon coeur pour en oeil qui lui plaît. Voyez comme, pourtant, notre sort est étrange ! Si nous eussions tous deux fait de figure échange, Comme elle m'eût aimé d'un amour sans pareil ! Et je l'eusse suivie, en vrai fou de Tolède, Aux pays de la brume, aux landes du soleil, Si le Ciel m'eût fait beau, et qu'il l'eût faite laide ! Émile Nelligan Mon rêve familier Paul Verlaine Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d’être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l’ignore. Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L’inflexion des voix chères qui se sont tues.
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