Bonjour,
ACCORDER Recopiez cet extrait en accordant cor- rectement les participes passés. Il répétait : Comment, c'est vous, c'est vous... Oh ! que vous m'avez (fait) peur ! Vous pouviez vous tuer. Il lui prit les mains, il les baisa. -Que je vous aime, Françoise ... Vous êtes aussi courageuse que bonne. Je n'avais qu'une crainte, c'était de mourir sans vous avoir (revu)... Mais vous êtes là, et maintenant ils peuvent me fusiller. Quand j'aurai (passé) un quart d'heure avec vous, je serai prêt. Peu à peu, il l'avait (attiré) à lui, et elle appuyait sur sa tête son épaule. D'après É. ZOLA, « L'Attaque du moulin », 1880.
ACCORDER Recopiez cet extrait en accordant cor- rectement les participes passés. Il répétait : Comment, c'est vous, c'est vous... Oh ! que vous m'avez (fait) peur ! Vous pouviez vous tuer. Il lui prit les mains, il les baisa. -Que je vous aime, Françoise ... Vous êtes aussi courageuse que bonne. Je n'avais qu'une crainte, c'était de mourir sans vous avoir (revu)... Mais vous êtes là, et maintenant ils peuvent me fusiller. Quand j'aurai (passé) un quart d'heure avec vous, je serai prêt. Peu à peu, il l'avait (attiré) à lui, et elle appuyait sur sa tête son épaule. D'après É. ZOLA, « L'Attaque du moulin », 1880.
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bjr
Il répétait : Comment, c'est vous, c'est vous... Oh ! que vous m'avez FAIT peur ! Vous pouviez vous tuer. Il lui prit les mains, il les baisa. -Que je vous aime, Françoise ... Vous êtes aussi courageuse que bonne. Je n'avais qu'une crainte, c'était de mourir sans vous avoir REVUE... Mais vous êtes là, et maintenant ils peuvent me fusiller. Quand j'aurai passé un quart d'heure avec vous, je serai prêt. Peu à peu, il l'avait attiréE à lui, et elle appuyait sur sa tête son épaule.