Je doit écrire une ouverture pour une conclusion de lecture linéaire de l'Acte III scène 14.
La problématique étant :
En quoi Béralde agit comme un véritable maître de cérémonie, en voulant exclusivement le bonheur de son frère ?
La conclusion étant :
Béralde apparaît donc dans cette scène comme un véritable maître de cérémonie, double assumer de l'auteur qui, par son intermédiaire, se moque du malade imaginaire et des médecins, en même temps qu'il en insuffle le rythme dynamique de son dénouement.
J'ai donc réaliser une ouverture sur l'école des femmes de Molière :
J’ai pu rapprocher cette scène avec L’école des femmes de Molière. En effet, ici, Arnolphe se présente comme un maître de cérémonie, croyant pouvoir tout ramener a ses pieds, y compris la femme qu’il souhaite, Agnès, en lui instaurant ses principes. Or, ce qu’il ne sais pas, c’est que le véritable maître de céremonie est Horace, qui d’une part va faire d’Agnès une femme cocue, et qui d’autre part va réveler que ce cocuage n’étais pas nécéssaire puisqu’Agnès lui était destiné.
Je voulais savoir si elle était bien faite, si vous me suggerez des choses à enlever, a rajouter, à modifier,...