Bonjours à tous. J'ai vraiment besoin de vous, c'est pour demain matin à 8h30. Il faut que j'écris une pièce de théâtre tragique qui a pour sujet: un comte et une comtesse se dispute. Merci, a ceux qui voudront m'aider.
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elisa999
Acte 3 scène 4 Le salon d’un château. Décor riche, dorures, miroirs, tapis. Le comte marche de long en large. La comtesse est assise et tient un mouchoir dans la main, elle se tamponne les yeux. LE COMTE : Mais voyons ma chère, vous n’y pensez point, j’ai absolument besoin de cet argent ! Les dettes d’honneur sont les dettes d’honneur ! LA COMTESSE : (d’une voix plaintive) Mais mon ami, qu’allons nous devenir, ma dot est déjà grandement entamée, le château nous coute une fortune, je n’ai plus de quoi payer les domestiques, on se rit déjà de nous à la cour ! LE COMTE : (se mettant en colère et haussant la voix) Cessez vos jérémiades ! Il faut bien que j’honore ce que je dois et vous avez beau vous employer à faire intervenir votre père, cela n’y changera rien. De plus j’ai oui dire par un proche de la reine, que celle-ci souhaiterait pouvoir se procurer un bijou de grand prix, et je crois avoir une idée pour servir de truchement à cette opération. LA COMTESSE : Grand Dieux, qu’allez vous faire ? Vous voulez tromper la reine ? ………………….. (je parle de l’affaire du collier avec Marie Antoinette)
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Le salon d’un château. Décor riche, dorures, miroirs, tapis. Le comte marche de long en large. La comtesse est assise et tient un mouchoir dans la main, elle se tamponne les yeux.
LE COMTE : Mais voyons ma chère, vous n’y pensez point, j’ai absolument besoin de cet argent ! Les dettes d’honneur sont les dettes d’honneur !
LA COMTESSE : (d’une voix plaintive) Mais mon ami, qu’allons nous devenir, ma dot est déjà grandement entamée, le château nous coute une fortune, je n’ai plus de quoi payer les domestiques, on se rit déjà de nous à la cour !
LE COMTE : (se mettant en colère et haussant la voix) Cessez vos jérémiades ! Il faut bien que j’honore ce que je dois et vous avez beau vous employer à faire intervenir votre père, cela n’y changera rien. De plus j’ai oui dire par un proche de la reine, que celle-ci souhaiterait pouvoir se procurer un bijou de grand prix, et je crois avoir une idée pour servir de truchement à cette opération.
LA COMTESSE : Grand Dieux, qu’allez vous faire ? Vous voulez tromper la reine ? ………………….. (je parle de l’affaire du collier avec Marie Antoinette)