Bonjours aidez moi svp ! vous pouvais m'expliquer ces phrase avec vos propre mot svp c'est pour un commentaire de texte de sur les animeaux malade de la peste merci ! A) Une situation initiale lugubre sous le joug divin
La fable commence sur le ton tragique : un fléau, la peste frappe de royaume.
Le roi, incarné par lel ion va tenir conseil et présente la situation comme un châtiment divin. Tout un champ lexical religieux se montre : celui de la punition et de la culpabilité. Le joug divin est une métaphore qui désigne la dépendance de l'homme devant Dieu qui lui demande des comptes de ses mauvaises actions.
Explications : le début de la fable
Les animaux malades de la peste
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste [puisqu'il faut l'appeler par son nom]
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
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lilili0
Bonjour est-ce que vous pouvez m'aider s'il vous plaît j'ai posté une question sur mon compte
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Réponse :
La fable commence sur le ton tragique : un fléau, la peste frappe de royaume.
Le roi, incarné par lel ion va tenir conseil et présente la situation comme un châtiment divin. Tout un champ lexical religieux se montre : celui de la punition et de la culpabilité. Le joug divin est une métaphore qui désigne la dépendance de l'homme devant Dieu qui lui demande des comptes de ses mauvaises actions.
Explications : le début de la fable
Les animaux malades de la peste
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste [puisqu'il faut l'appeler par son nom]
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.