1. a) Paris est comparé à une jolie femme et à un monstre vivant et une nouvelle monnaie, un grand homard.
b) Les figures de style : la métaphore filée du monstre , l'oxymore (le plus délicieux es monstres), l'énumération, les verbes de mouvement, la personnification (le rue parle), le champ lexical de la marche (trotteurs, pieds, affairés)
2. Balzac est fasciné par Paris le côté monstrueux l'impressionne car il y a tant d'activités mais aussi la vie qui ne s'arrête jamais la nuit, le jour. il lui trouve des attraits : "monstrueuse merveille" et "la ville aux cent mille romans".Il ne nie pas les laideurs mais le mouvement et l'activité le passionnent.
3. Ville de débauche ? "le dernier frétillement des voitures de bal", "les murmures entre minuit et deux heures du matin", "cette grande courtisane".
4. Paris est faite de contrastes : laideur/beauté, pauvreté/richesses, travail/amusements.
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Réponse :
1. a) Paris est comparé à une jolie femme et à un monstre vivant et une nouvelle monnaie, un grand homard.
b) Les figures de style : la métaphore filée du monstre , l'oxymore (le plus délicieux es monstres), l'énumération, les verbes de mouvement, la personnification (le rue parle), le champ lexical de la marche (trotteurs, pieds, affairés)
2. Balzac est fasciné par Paris le côté monstrueux l'impressionne car il y a tant d'activités mais aussi la vie qui ne s'arrête jamais la nuit, le jour. il lui trouve des attraits : "monstrueuse merveille" et "la ville aux cent mille romans".Il ne nie pas les laideurs mais le mouvement et l'activité le passionnent.
3. Ville de débauche ? "le dernier frétillement des voitures de bal", "les murmures entre minuit et deux heures du matin", "cette grande courtisane".
4. Paris est faite de contrastes : laideur/beauté, pauvreté/richesses, travail/amusements.
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