Bonjours j ai un exercice de français à faire il faut que j imagine la suite de la parure de Maupassant après le passage qui dit «Oh! Ma pauvre Mathilde!Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs!... Merci d avance à ceux qui vont me répondre
Mathilde , après tant d'économies pour rembourser une fausse parure, réfléchit à son avenir. Justement un nouvelle boutique vient d'ouvrir en bas d'un immeuble voisin. l'enseigne est toute neuve : Colifichets de toute beauté. Elle prend vite sa décision. Elle soigne sa toilette, met son chapeau fleuri et pousse la porte de la boutique et se propose comme vendeuse. La patronne la dévisage, parle un peu et décide de la prendre. Madame Loisel prend goût à cette nouvelle occupation qui lui confère autonomie mais surtout un salaire. Sa vie en est changée. Un soir, en fermant la grille du magasin, elle croise Madame Forestier .... à peine reconnaissable.
- Ô ! Quelles nouvelles ?
- Vous semblez dans une forme magnifique ! Moi, en revanche, Je suis en en grand difficulté, à vous je peux dire la vérité. Mon mari a fait faillite et nous allons devoir quitter notre grand appartement. Cette boutique est à vous ?
- Oui, depuis un an maintenant. La propriétaire était sans enfant et vu son âge, elle a préféré céder le bail.
Madame Forestier, très gênée, mais refoulant sa honte demanda :
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Mathilde , après tant d'économies pour rembourser une fausse parure, réfléchit à son avenir. Justement un nouvelle boutique vient d'ouvrir en bas d'un immeuble voisin. l'enseigne est toute neuve : Colifichets de toute beauté. Elle prend vite sa décision. Elle soigne sa toilette, met son chapeau fleuri et pousse la porte de la boutique et se propose comme vendeuse. La patronne la dévisage, parle un peu et décide de la prendre. Madame Loisel prend goût à cette nouvelle occupation qui lui confère autonomie mais surtout un salaire. Sa vie en est changée. Un soir, en fermant la grille du magasin, elle croise Madame Forestier .... à peine reconnaissable.
- Ô ! Quelles nouvelles ?
- Vous semblez dans une forme magnifique ! Moi, en revanche, Je suis en en grand difficulté, à vous je peux dire la vérité. Mon mari a fait faillite et nous allons devoir quitter notre grand appartement. Cette boutique est à vous ?
- Oui, depuis un an maintenant. La propriétaire était sans enfant et vu son âge, elle a préféré céder le bail.
Madame Forestier, très gênée, mais refoulant sa honte demanda :
"Vous n'auriez pas besoin d'une vendeuse ?"
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