Bonjours j'ai besoin d'aide svp ! voici un texte et il faut que il y est plus de faute et je n'arrive pas a tout corrige vous pouvez m'aide svp ?
Son sabot guéri, Malabar travailla plus dur que jamais . À la vérité , cette année-là, tous les animaux penerent comme des esclaves . Outre le contraignant le train de la ferme, il y avait la construction du nouveau moulin et celle de l’école des jeunes goret commencé en mars . Quelquefois leur long labeur, avec cette nourriture insuffisante, les épuisait, mais malabar, lui, ne faiblissait jamais . Il n’avait plus ses forces d’autres fois, mais rien dans ses faits et gestes ne le trahissait . Seules son apparence avec un peu changé . Sa robe était ma luisante, ses rain semblaient se creuser . ‘’Malabar va se requinque avec l’herbe du printemps ‘' disait les autres . Mais ce fut le printemps et Malabar ne repris pas de pois . Parfois, sur la pente qui conduit en hot de la carrière, à le voir bander ses muscles sous les fées d’un énorme bloc de pierre on aurait dit que rien ne le retenait debout que la volonté . gorge orale, la ferme des animaux .
Son sabot guéri,Malabar travailla plus dur que jamais. A la vérité,cette année-là, tous les animaux peinèrent comme des esclaves. Outre le contraignant train-train de la ferme, il y avait la construction du nouveau moulin et celle de l'école des jeunes gorets,commencée en mars .Quelquefois leur long labeur, avec cette nourriture insuffisante, les épuisait, mais Malabar,lui, ne faiblissait jamais .
Il n'avait plus ses forces d'autrefois,mais rien dans ses faits et gestes ne le trahissait . Seule son apparence avait un peu changé. Sa robe était moins luisante, ses reins semblaient se creuser. "Malabar va se requinquer avec l'herbe du printemps" disaient les autres .
Mais ce fut le printemps et Malabar ne reprit pas de poids .Parfois,sur la pente qui conduit en haut de la carrière,à le voir bander ses muscles sous le faix d'un énorme bloc de pierre on aurait dit que rien ne le retenait debout que la volonté
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bonjour
Son sabot guéri,Malabar travailla plus dur que jamais. A la vérité,cette année-là, tous les animaux peinèrent comme des esclaves. Outre le contraignant train-train de la ferme, il y avait la construction du nouveau moulin et celle de l'école des jeunes gorets,commencée en mars .Quelquefois leur long labeur, avec cette nourriture insuffisante, les épuisait, mais Malabar,lui, ne faiblissait jamais .
Il n'avait plus ses forces d'autrefois,mais rien dans ses faits et gestes ne le trahissait . Seule son apparence avait un peu changé. Sa robe était moins luisante, ses reins semblaient se creuser. "Malabar va se requinquer avec l'herbe du printemps" disaient les autres .
Mais ce fut le printemps et Malabar ne reprit pas de poids .Parfois,sur la pente qui conduit en haut de la carrière,à le voir bander ses muscles sous le faix d'un énorme bloc de pierre on aurait dit que rien ne le retenait debout que la volonté
George Orwell : La ferme aux animaux