Bonjours quelqu'un pourrait il m'aider à corriger mon texte ( faute de conjugaison ponctuation, tout svp) et à l'améliorer svp Enfin des vacances seule. Après 18 ans à passer des jours et des jours avec ma famille. Je m’envolerais enfin pour New York sans personnes. Pensais-je toute exciter
Je fis mes bagages.Et me voila prête
Avant de partir j’embrassa ma famille et ma mère me dit
Rosie ma cherie surtout n’oublie pas de m’envoyer un message quand tu arrive
Bien sur maman
Quelques jours plus tard j’arrivais à destination, j’allais résider dans une rue de Broadway, j’aperçus la maison elle était énorme mais elle faisait un peu peur, les couleurs des parois était gris et le temps était pluvieux mais ce n’était pas ça qui allait gâcher mes vacances. J’entrais dans la maison en courant dans tout les sens. Je posai ensuite mes valises épuisées. Je visiterais demain me suis-je dis. La pluie commença à pleuvoir à verse. Je me dirigeai ensuite dans une des chambres avec un gigantesque lit à baldaquin. Je m’allongeai et ferma les yeux, je m’assoupi un moment mais ensuite je me senti mal, je n’arrivais plus à dormir malgré la fatigue. Je m’asseyais alors sur le lit quand soudain, j’entendis des bruits de pas qui provenait du couloir en direction de la chambre, mon cœur s’arrêta, Je bondis du lit et attrapa la barre de fer qui servait au rideau métallique et m’approcha de la porte. Je l’ouvris avec agressivité mais c’était avec stupeur que je constatais qu’il n’y avait personne. Je tremblais et mon cœur battais la chamade. Après quelque minute, je rentrais dans la chambre, mais aussitôt je perçus un claquement de fenêtre, pourtant j’était persuadée que toute les fenêtre était fermée à mon arrivée, Je parti la fermer en me rassurant ce n’était rien. L’atmosphère me paraissait lourd. Sur le chemin qui menait à la fenêtre, le courent coupa, des frissons me prirent et mon souffle devient court. Heureusement, mon téléphone était dans ma poche, j’alluma la lampe et continua mon chemin, le couloir était long et il y avait des tableaux de personne qui m’était inconnu, peut être une famille mais j’avais l’impression qu’il me fixait tous, j’essayais de courir aussi vite que je pouvais, ferma le châssis et reparti à la même allure. Je suis entrée dans la chambre en essayant de reprendre mon calme. Je regardai mon téléphone en espérant avoir des messages mais je n’en avait aucun, ensuite je vu que je n’avait pas de réseau. Quelque minute plus tard, j’entendis des cris terrifiants, comme si quelqu’un se faisait égorgeait. Sa ne pouvait plus être mon imagination, je senti comme une main se posait sur mon épaule, à ce moment je cru que j’allai faire une crise cardiaque, la peur me pétrifia et je ne pouvais bouger, je n’arrivais pas à me retourner, des larmes coulaient sans que je m’en rendais compte. J’était seule dans une maison qui me faisait peur, je ne pouvais appeler personne et même si je criais avec la tempête dehors personne ne m’entendrait. C’est la que je vit la chose la plus flipante que j’avais vu de ma vie. Une petite fille au teint blanc pâle et avec une blouse blanche trop grande pour elle et des cheveux noirs jaîs qui cache un peu son visage et qui levite. La petite fille dit
Joue avec moi !!!
Je lui repondis « qui es tu ? et quest ce que tu fais ici ?
Mais c’est ma maison
C’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase et je prit mes affaires et parti aussi vite que possible sous la pluie et trouva un petit hotel qui m’accueillie
Le lendemain matin je demanda à un employe de l’hotel qui vivait dans la maison avant et il me dit tout pale une famille et je lui demanda ce qui leut était arriver et il répondis ils ont été assassiner et il mappis également quil y avait une petite fille avec
Je fis mes bagages.Et me voila prête
Avant de partir j’embrassa ma famille et ma mère me dit
Rosie ma cherie surtout n’oublie pas de m’envoyer un message quand tu arrive
Bien sur maman
Quelques jours plus tard j’arrivais à destination, j’allais résider dans une rue de Broadway, j’aperçus la maison elle était énorme mais elle faisait un peu peur, les couleurs des parois était gris et le temps était pluvieux mais ce n’était pas ça qui allait gâcher mes vacances. J’entrais dans la maison en courant dans tout les sens. Je posai ensuite mes valises épuisées. Je visiterais demain me suis-je dis. La pluie commença à pleuvoir à verse. Je me dirigeai ensuite dans une des chambres avec un gigantesque lit à baldaquin. Je m’allongeai et ferma les yeux, je m’assoupi un moment mais ensuite je me senti mal, je n’arrivais plus à dormir malgré la fatigue. Je m’asseyais alors sur le lit quand soudain, j’entendis des bruits de pas qui provenait du couloir en direction de la chambre, mon cœur s’arrêta, Je bondis du lit et attrapa la barre de fer qui servait au rideau métallique et m’approcha de la porte. Je l’ouvris avec agressivité mais c’était avec stupeur que je constatais qu’il n’y avait personne. Je tremblais et mon cœur battais la chamade. Après quelque minute, je rentrais dans la chambre, mais aussitôt je perçus un claquement de fenêtre, pourtant j’était persuadée que toute les fenêtre était fermée à mon arrivée, Je parti la fermer en me rassurant ce n’était rien. L’atmosphère me paraissait lourd. Sur le chemin qui menait à la fenêtre, le courent coupa, des frissons me prirent et mon souffle devient court. Heureusement, mon téléphone était dans ma poche, j’alluma la lampe et continua mon chemin, le couloir était long et il y avait des tableaux de personne qui m’était inconnu, peut être une famille mais j’avais l’impression qu’il me fixait tous, j’essayais de courir aussi vite que je pouvais, ferma le châssis et reparti à la même allure. Je suis entrée dans la chambre en essayant de reprendre mon calme. Je regardai mon téléphone en espérant avoir des messages mais je n’en avait aucun, ensuite je vu que je n’avait pas de réseau. Quelque minute plus tard, j’entendis des cris terrifiants, comme si quelqu’un se faisait égorgeait. Sa ne pouvait plus être mon imagination, je senti comme une main se posait sur mon épaule, à ce moment je cru que j’allai faire une crise cardiaque, la peur me pétrifia et je ne pouvais bouger, je n’arrivais pas à me retourner, des larmes coulaient sans que je m’en rendais compte. J’était seule dans une maison qui me faisait peur, je ne pouvais appeler personne et même si je criais avec la tempête dehors personne ne m’entendrait. C’est la que je vit la chose la plus flipante que j’avais vu de ma vie. Une petite fille au teint blanc pâle et avec une blouse blanche trop grande pour elle et des cheveux noirs jaîs qui cache un peu son visage et qui levite. La petite fille dit
Joue avec moi !!!
Je lui repondis « qui es tu ? et quest ce que tu fais ici ?
Mais c’est ma maison
C’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase et je prit mes affaires et parti aussi vite que possible sous la pluie et trouva un petit hotel qui m’accueillie
Le lendemain matin je demanda à un employe de l’hotel qui vivait dans la maison avant et il me dit tout pale une famille et je lui demanda ce qui leut était arriver et il répondis ils ont été assassiner et il mappis également quil y avait une petite fille avec
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