Robert Debré, l'auteur qui a écrit ce texte, se remémore de son quartier d'enfance, un lieu de vie principalement ouvrier. Au début, il décrit son quartier comme étant sale, abandonné et pauvre, aux rues bordées de bâtiment sombres, avec peu de boutiques mais les bars y abondaient. Dans la seconde partie du texte, à partir de la septième ligne, il raconte également que le printemps et la saison estivale formaient la seule période où le quartier prenait vie et avait un air jovial, les rues devenaient des promenades où raisonnaient les chants à la mode et le son de l'accordéon.
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Robert Debré, l'auteur qui a écrit ce texte, se remémore de son quartier d'enfance, un lieu de vie principalement ouvrier.Au début, il décrit son quartier comme étant sale, abandonné et pauvre, aux rues bordées de bâtiment sombres, avec peu de boutiques mais les bars y abondaient.
Dans la seconde partie du texte, à partir de la septième ligne, il raconte également que le printemps et la saison estivale formaient la seule période où le quartier prenait vie et avait un air jovial, les rues devenaient des promenades où raisonnaient les chants à la mode et le son de l'accordéon.