Voici les réponses,j’espère que je ne me suis pas trompée, sorry si j'ai fait des fautes, mais c'était vraiment très long....
Explications :
N°1 :
La pauvre jeune femme, foudroyée par la chagrin, avait pris le lit, avait déliré pendant six semaine. Puis, une sorte de lassitude calme succédant à cette crise violente, elle était restée sans mouvement, mangeant à peine, remuant seulement les yeux. Chaque fois qu'on avait voulu la faire lever, elle avait crié comme si on l'avait tuée. On l'avait laissé dons toujours couchée, ne la tirant de ses draps que pour les soins de sa toilette et pour retourner son matelas.
N°2 :
Une vieille bonne restait près d'elles, les faisaient boire de temps en temps ou mâcher un peu de viande froide. Que se passait-il dans ces âmes désespérées ? On ne le sut jamais : car elles ne parlèrent plus. Songeaient-elles aux morts ? Rêvassaient-elles tristement, sans souvenir précis ? Ou bien, ses pensées anéanties restaient-elles immobiles comme l'eau sans courant ? Pendant quinze années, elle demeurèrent ainsi fermées et inertes.
N°3 :
Comme ils portaient beaux par nature, et par pose d'anciens sous-officiers, ils cambrèrent leurs tailles, frisèrent leurs moustaches d'un geste militaire et familier, et jetèrent sur les dîneurs attardés un regard rapide de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Lorsqu'ils furent sur le trottoir, ils demeurèrent un instant immobiles, se demandant ce qu'ils allaient faire. On était au 28 juin, et ils leur restaient juste en poche trois francs quarante pour le finir le mois.
N°4 :
A cote du cocher se tenait,en pleine lumière, des officiers allemands, des grands jeunes hommes excessivement minces et blonds, serrés dans leurs uniformes comme des filles en leurs corsets, et portant sur le coté leurs casquettes plates et cirées qui les faisaient ressembler aux chasseurs d’hôtels anglais. Leurs moustaches démesurées ,à long poils droits, s'amincissaient indéfiniment de chaque côtés et terminées par un seul fil blond, si mince, semblaient peser sur les coins de sa bouche, et tirant les joues, imprimaient aux lèvres des plis tombant.
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Voici les réponses,j’espère que je ne me suis pas trompée, sorry si j'ai fait des fautes, mais c'était vraiment très long....
Explications :
N°1 :
La pauvre jeune femme, foudroyée par la chagrin, avait pris le lit, avait déliré pendant six semaine. Puis, une sorte de lassitude calme succédant à cette crise violente, elle était restée sans mouvement, mangeant à peine, remuant seulement les yeux. Chaque fois qu'on avait voulu la faire lever, elle avait crié comme si on l'avait tuée. On l'avait laissé dons toujours couchée, ne la tirant de ses draps que pour les soins de sa toilette et pour retourner son matelas.
N°2 :
Une vieille bonne restait près d'elles, les faisaient boire de temps en temps ou mâcher un peu de viande froide. Que se passait-il dans ces âmes désespérées ? On ne le sut jamais : car elles ne parlèrent plus. Songeaient-elles aux morts ? Rêvassaient-elles tristement, sans souvenir précis ? Ou bien, ses pensées anéanties restaient-elles immobiles comme l'eau sans courant ? Pendant quinze années, elle demeurèrent ainsi fermées et inertes.
N°3 :
Comme ils portaient beaux par nature, et par pose d'anciens sous-officiers, ils cambrèrent leurs tailles, frisèrent leurs moustaches d'un geste militaire et familier, et jetèrent sur les dîneurs attardés un regard rapide de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Lorsqu'ils furent sur le trottoir, ils demeurèrent un instant immobiles, se demandant ce qu'ils allaient faire. On était au 28 juin, et ils leur restaient juste en poche trois francs quarante pour le finir le mois.
N°4 :
A cote du cocher se tenait,en pleine lumière, des officiers allemands, des grands jeunes hommes excessivement minces et blonds, serrés dans leurs uniformes comme des filles en leurs corsets, et portant sur le coté leurs casquettes plates et cirées qui les faisaient ressembler aux chasseurs d’hôtels anglais. Leurs moustaches démesurées ,à long poils droits, s'amincissaient indéfiniment de chaque côtés et terminées par un seul fil blond, si mince, semblaient peser sur les coins de sa bouche, et tirant les joues, imprimaient aux lèvres des plis tombant.