Salut :) je sais pas en quelle classe tu es pour que je m’adapte à ton niveau.
J’ai écris ça:
Paragraphe 1: Anton venait d’ouvrir les yeux. Il s’étira puis bondit hors de son lit avec hâte. Il courut dans les escaliers, pris une pomme puis sortit du chalet comme un courant d’air. Ses parents dormaient encore, épuisés par le trajet de la veille. C’était alors le moment rêvé pour sortir en douce. Tout l’émerveillait. Lui qui venait de Paris, le doux parfum des champs et le chant des oiseaux l’emplissait de joie. Il sautait par dessus un ruisseau, courait dans l’herbe, attrapait les fourmis...le paradis!
Paragraphe 2: Mais alors qu’il observait le ciel, il trébucha a cause d’une racine. Lorsqu’il essaya de se relever, il sentit une pression sur sa jambe. Ce n’était pas une racine mais un énorme serpent d’au moins 2 mètres : “Tu m’as marché dessus alors je vais te manger petit homme” dit-il de sa voix sifflante.
Paragraphe 3: Anton hurla et se débattit. Il fermait les yeux pendant qu’il luttait et que ses larmes coulaient. Mais lorsqu’il rouvrit les yeux, il se trouvait dans sa chambre, entortillé dans ses draps. (Ce n’était qu’un rêve).
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Salut :) je sais pas en quelle classe tu es pour que je m’adapte à ton niveau.
J’ai écris ça:
Paragraphe 1: Anton venait d’ouvrir les yeux. Il s’étira puis bondit hors de son lit avec hâte. Il courut dans les escaliers, pris une pomme puis sortit du chalet comme un courant d’air. Ses parents dormaient encore, épuisés par le trajet de la veille. C’était alors le moment rêvé pour sortir en douce. Tout l’émerveillait. Lui qui venait de Paris, le doux parfum des champs et le chant des oiseaux l’emplissait de joie. Il sautait par dessus un ruisseau, courait dans l’herbe, attrapait les fourmis...le paradis!
Paragraphe 2: Mais alors qu’il observait le ciel, il trébucha a cause d’une racine. Lorsqu’il essaya de se relever, il sentit une pression sur sa jambe. Ce n’était pas une racine mais un énorme serpent d’au moins 2 mètres : “Tu m’as marché dessus alors je vais te manger petit homme” dit-il de sa voix sifflante.
Paragraphe 3: Anton hurla et se débattit. Il fermait les yeux pendant qu’il luttait et que ses larmes coulaient. Mais lorsqu’il rouvrit les yeux, il se trouvait dans sa chambre, entortillé dans ses draps. (Ce n’était qu’un rêve).