Bonsoir, aide moi svp car c'est très urgence !!! Merci. Quels indices avions-nous du caratère malléfique du tailleur dans ce passage ?
À ma grande surprise, il ne fit aucune difficulté. Au contraire il paraissait désireux de me voir devenir son client. Je lui expliquai comment j’avais eu son adresse, je louai sa coupe et lui demandai de me faire un complet. Nous choisîmes un peigné gris puis il prit mes mesures et s’offrit de venir pour l’essayage, chez moi. Je lui demandai son prix. Cela ne pressait pas, me répondit-il, nous nous mettrions toujours d’accord. Quel homme sympathique ! pensai-je tout d’abord. Et pourtant plus tard, comme je rentrai chez moi, je m’aperçus que le petit vieux m’avait produit un malaise (peut-être à cause de ses sourires trop insistants et trop doucereux). En somme je n’avais aucune envie de le revoir. Mais désormais le complet était commandé. Et quelque vingt jours plus tard il était prêt.
BSR je dirais que les indices que nous avons ici sont "cela ne me praissait pas nous nous mettrions toujours d'accord " et le deuxième c'est je m’aperçus que le petit vieux m’avait produit un malaise (peut-être à cause de ses sourires trop insistants et trop doucereux). Mais désormais le complet était commandé. Et quelque vingt jours plus tard il était prêt.
Explications :
Psq en gros là ont peux nous montrer comment l'homme n'est pas très net le fait de te sourir avec insistance ,de conclure un genre de marcher et dans le dernier ont peux nous montrer que le gars avait une idée derrière la tete
Dès là première phrase, l'auteur nous fait part du comportement inattendu du tailleur. (grande surprise et aucune difficulté).
L'emploi du possessif " ma" dans " ma surprise" donne du crédit à cette remarque sur le tailleur car ce sont les paroles même du narrateur et non pas des paroles rapportées.
La deuxième phrase commence par "Au contraire" quand elle introduit le tailleur. Ce qui installe directement l'idée d'une opposition. Et puis, elle finit par : être "son" client. Son client ou son prisonnier, sa proie et sa victime ?
Après trois " je" dans la troisième phase, nous passons à un "Nous" : nous choisîmes".
L'auteur et le tailleur sont déjà liés.
Quand le tailleur prend les mesures de son client, il fait en sorte de se retrouver dans la maison de ce dernier.
Le choix de l'expression " ne pas être pressé" du tailleur suggère la patience d'une araignée qui tisse sa toile pour ne pas laisser sa victime s'échapper.
Puis encore ce " nous" qui lient les deux personnages.
L'introduction du " tout d'abord" nous indique que les choses ne sont pas ce qu'elles paraissaient au début. Quelque chose va se passer qui va confirmer la surprise du narrateur au début.
"Et pourtant", une fois chez lui, loin du tailleur, l'auteur reprend la clairvoyance de ses idées et le sentiment de "malaise" dû à ce" trop ", à ce faux sourire" insistant et doucereux " répété et revenu à la charge comme une stratégie de manipulation du tailleur pour plaire au client et le rassurer.
" Mais " à la fin du texte, la volonté du narrateur est déjà sous contrôle car" désormais ", le complet sur mesure est " commandé" et" prêt ".
Les jeux sont faits...
J'espère t'avoir aidé dans ton devoir et que cela va t'inspirer dans ta lecture du texte.
Bon courage.
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sabrinahello1402
Bonjour. Je ne suis pas professeur. Je réponds aux questions selon ce que je comprends et après une recherche autour du texte, Parfois, le texte ne m'inspire pas ou je n'ai pas les références. Je ne propose pas mon aide. Je veux juste donner un coup de main mais non pas remplacer le professeur. A chacun son travail et sa place.
sabrinahello1402
Est-ce que tu as fait ta recherche sur les figures de style ?
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Réponse :
BSR je dirais que les indices que nous avons ici sont "cela ne me praissait pas nous nous mettrions toujours d'accord " et le deuxième c'est je m’aperçus que le petit vieux m’avait produit un malaise (peut-être à cause de ses sourires trop insistants et trop doucereux). Mais désormais le complet était commandé. Et quelque vingt jours plus tard il était prêt.
Explications :
Psq en gros là ont peux nous montrer comment l'homme n'est pas très net le fait de te sourir avec insistance ,de conclure un genre de marcher et dans le dernier ont peux nous montrer que le gars avait une idée derrière la tete
j’espère avoir pu t'aider
Réponse:
Bonjour.
Dès là première phrase, l'auteur nous fait part du comportement inattendu du tailleur. (grande surprise et aucune difficulté).
L'emploi du possessif " ma" dans " ma surprise" donne du crédit à cette remarque sur le tailleur car ce sont les paroles même du narrateur et non pas des paroles rapportées.
La deuxième phrase commence par "Au contraire" quand elle introduit le tailleur. Ce qui installe directement l'idée d'une opposition. Et puis, elle finit par : être "son" client. Son client ou son prisonnier, sa proie et sa victime ?
Après trois " je" dans la troisième phase, nous passons à un "Nous" : nous choisîmes".
L'auteur et le tailleur sont déjà liés.
Quand le tailleur prend les mesures de son client, il fait en sorte de se retrouver dans la maison de ce dernier.
Le choix de l'expression " ne pas être pressé" du tailleur suggère la patience d'une araignée qui tisse sa toile pour ne pas laisser sa victime s'échapper.
Puis encore ce " nous" qui lient les deux personnages.
L'introduction du " tout d'abord" nous indique que les choses ne sont pas ce qu'elles paraissaient au début. Quelque chose va se passer qui va confirmer la surprise du narrateur au début.
"Et pourtant", une fois chez lui, loin du tailleur, l'auteur reprend la clairvoyance de ses idées et le sentiment de "malaise" dû à ce" trop ", à ce faux sourire" insistant et doucereux " répété et revenu à la charge comme une stratégie de manipulation du tailleur pour plaire au client et le rassurer.
" Mais " à la fin du texte, la volonté du narrateur est déjà sous contrôle car" désormais ", le complet sur mesure est " commandé" et" prêt ".
Les jeux sont faits...
J'espère t'avoir aidé dans ton devoir et que cela va t'inspirer dans ta lecture du texte.
Bon courage.