Bonsoir,

C'est très long ton devoir

J'espère t'avoir aider

3- Les groupes nominaux concernant le parquet sont:

emballage grossier, une chose dégoûtante, une plaisanterie, un paquet suintant (matière liquide d'une couleur objecte ), un autre paquet d'aspect répugnant, l’infâme paquet : tout les adjectifs utiliser dans ses GN sont péjoratif et donnent une image immonde de ce paquet.

4- Les groupes  de mots caractérisant les réactions et sentiment successifs sont:

• Réactions: Ligne 7 à 10 : "Si repoussante, qu'il ne me passa pas par la tête de l'ouvrir", "Je me protégeai les mains avec un chiffon, la soulevai et la jetai dehors..." Ligne 14 à 16 : "Je me gardai bien de l'ouvrir. Je l'enveloppai le mieux possible dans un vieux journal et le déposai sur le trottoir."

Je remarque que le narrateur n'a pas envie d'ouvrir le paquet, même quant  tout lui disait de l’ouvrir il ne l'a pas fait car il avait peur. Il ne veut pas agir car il ne peut tout simplement pas. Ligne 27 à 29 : "Vous direz : pourquoi, si tu n'as pas eu le courage de l'ouvrir, n'avertis-tu pas la police ? La réponse semblera absurde ; je ne sais pas en donner réponse la réponse, mais j'ai peur".

5. a. Ils désigne les personnes qui ont mit le paquet dans sa voiture.

b. Le narrateur est D.BUZZATI (un journaliste), il raconte l'histoire de son ami qui nous restera inconnu à jamais.

Ligne 30: Confession d'un ami dont je ne peux révéler le nom

6. La fin produit un sentiment de doute et d'incompréhension, le lecteur se posera de nombreuses questions sur la fin. Il voudra savoir qu'est ce qu'il y avait dans le paquet, que se saurait il passer s'il avait ouvert le paquet ou il avait informé la police, etc .....

Cela est due parce cette nouvelle est une nouvelle fantastique.