le sultan fut (verbe être) surpris par l'oiseau. il dit : les sages-femmes me l'ont assuré.
L'oiseau ne dit rien. Il se remit à table et se pressa de manger.
le sultan sans rien dire monta à cheval et retourna à son palais.
il appela en urgence ses gardes et il dit: vous allez (prés de l'ind et non inf) chercher en toute urgence les femmes qui font accoucher ma femme.
les gardes partirent (concordance des temps) chercher les femmes. Après des jours, les gardes ramènent les femmes, il y avait trois femmes et les deux sœurs de la cadette. Le sultan demanda de les interroger séparément. les sœurs ne dirent pas la même chose, il se rendit compte de sa faute.
Il monta à cheval et alla jusqu'à la porte de la cabane et après avoir souffert depuis tant d'années, la sultane enfin trouve sa liberté.
Le sultan demanda pardon à la sultane devant une multitude de personnes.
La sultane accepta les excuses du sultan.
Le sultan et la sultane rentrèrent au palais.
Il partit demander aux sœurs où sont ses enfants.
La sœur répondit qu'ils étaient chez l'intendant de vos jardins et le sultan dit que l'intendant et sa femme étaient morts.
L'autre sœur dit qu'il habite vers le souk.
Il se rendit compte que parizade et son frère sont ses enfants ; le sultan et sa femme montèrent dans le carrosse en direction de la maison des enfants.
Ils arrivèrent devant la maison et il frappa à la porte. Parizade ouvrit la porte et la sultane fondit en larmes à ce moment si touchant et particulièrement de la part des parents. Le sultan dit :
- mes enfants, je suis votre père et voici aussi votre mère.
Les enfants furent contents de revoir leurs vrais parents.
Le sultan demanda aux enfants de ramasser leurs affaires et de monter dans le carrosse.
Enfin arrivé au palais, le sultan demanda de faire une grande fête pour célèbre l'union de famille royal.
Après la grande fête, le sultan mena la sultane au jardin et lui fit observer l'arbre harmonieux et l'eau jaune et depuis le sultan ne jugea personne sans preuves.
Depuis ce jour la famille continua une vie normale pleine amour.
Attention à l'emploi des verbes et à leurs concordances.
Attention à la place du pronom (le, les, la) avec les verbes.
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Bonjour,
le sultan fut (verbe être) surpris par l'oiseau. il dit : les sages-femmes me l'ont assuré.
L'oiseau ne dit rien. Il se remit à table et se pressa de manger.
le sultan sans rien dire monta à cheval et retourna à son palais.
il appela en urgence ses gardes et il dit: vous allez (prés de l'ind et non inf) chercher en toute urgence les femmes qui font accoucher ma femme.
les gardes partirent (concordance des temps) chercher les femmes. Après des jours, les gardes ramènent les femmes, il y avait trois femmes et les deux sœurs de la cadette. Le sultan demanda de les interroger séparément. les sœurs ne dirent pas la même chose, il se rendit compte de sa faute.
Il monta à cheval et alla jusqu'à la porte de la cabane et après avoir souffert depuis tant d'années, la sultane enfin trouve sa liberté.
Le sultan demanda pardon à la sultane devant une multitude de personnes.
La sultane accepta les excuses du sultan.
Le sultan et la sultane rentrèrent au palais.
Il partit demander aux sœurs où sont ses enfants.
La sœur répondit qu'ils étaient chez l'intendant de vos jardins et le sultan dit que l'intendant et sa femme étaient morts.
L'autre sœur dit qu'il habite vers le souk.
Il se rendit compte que parizade et son frère sont ses enfants ; le sultan et sa femme montèrent dans le carrosse en direction de la maison des enfants.
Ils arrivèrent devant la maison et il frappa à la porte. Parizade ouvrit la porte et la sultane fondit en larmes à ce moment si touchant et particulièrement de la part des parents. Le sultan dit :
- mes enfants, je suis votre père et voici aussi votre mère.
Les enfants furent contents de revoir leurs vrais parents.
Le sultan demanda aux enfants de ramasser leurs affaires et de monter dans le carrosse.
Enfin arrivé au palais, le sultan demanda de faire une grande fête pour célèbre l'union de famille royal.
Après la grande fête, le sultan mena la sultane au jardin et lui fit observer l'arbre harmonieux et l'eau jaune et depuis le sultan ne jugea personne sans preuves.
Depuis ce jour la famille continua une vie normale pleine amour.
Toutes les erreurs sont en gras.