Bonsoir j'ai besoin de quelqu'un pour corriger la suite de mon rédaction et en améliorant si c'est possible . Merci d'avance

Une fois sur le toit l'angoisse l'envahissait de tous ses membres corporelle , mais il ne pouvait rien faire que de courir , désormais il ne put contrôler son corps . Le commissaire et son acolyte montèrent sur le toit à leur tour . Le malfaiteur avait pris quelques pas d’avance , le commissaire sorta son revolver dans sa ceinture et tira trois coups de feu avec maladresse . Le bandit s'échappa avec justesse , Il sauta d’un toit pour atterrir sur un autre toit ,son agilité était exceptionnelle . Après , John Ferguson bondit à son tour mais il a eu en peu du mal . Son acolyte essaya à son tour et glissa sur le long du toit , il sentit ses cheveux qui se dressaient sur sa tête , il avait eu le temps de s’accrocher à la gouttière . Johne se retourna brusquement en voyant son amie en difficulté . Il voyait son collègue qui frissonnait , transpirait , son corps devenait peu à peu fragile . Ferguson tante de lui venir en aider mais il avait fait un faut pas et tomba dans le vide . Le détective se sentait coupable de la mort de son amie d'enfance , se remettra t-il de cette effroyable scène ?

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Bonjour à tous es ce que quelqu'un peut m'aider à corrige la rédaction que j'ai fais s'il vous plait quelqu'un qui est bon en orthographe et la structure des phrase , à améliorer si cela possible , merci d'avance tout aide Septembre 1848 , c'était un soir comme un autre chez monsieur et madame Flament à l'occasion d’un gala organisé dans leur ample et splendide manoir .Pendant cette soirée, la musique de l’ancien régime retentissait partout dans les salons de Messieurs et madame Flament . Des invités vinrent par différentes classes sociales , des riches bourgeois faisaient leur entrée ,les grands-ducs et leurs aides de camp, les grandes-duchesses, couvertes de diamants, les dames d'atour, revêtues de leurs costumes de gala,donnaient vaillamment l'exemple des femmes des hautes fonctions . Les couples de danseurs et de danseuses se multipliaient à l'infini à travers les splendides salons, quelques officiers du palais dirigeaient eux-mêmes à l'organisation des danses.Deux ouvriers étaient invités par leurs patrons pour servir à boire . Aussi, lorsque le signal de la«polonaise» retenti , les invités de tout rang prirent part à cette promenade cadencée, une danse lente et solennelle à trois temps , sous la lumière d’un nombre des lustres que décuplait la réverbération des glaces. Ce fut un émerveillement . D'ailleurs, le grand salon, le plus beau de tous ceux que possède le Flament . Lorsqu'ils s'arrêtèrent de danser , les invités prirent place sur un fauteuil bergère. On vint à parler de l'héritage , et une foule immense écoutait avec attention , et un grand débat commença , pour savoir si les femmes pouvaient ou non être traitées à l’égal des hommes , quand il s’agit de l'héritage .On signala une femmes qui n’avait jamais eu son héritage ; on nomma aussi des femmes ayant presque eu leur part . Les hommes disaient , généralement , que certaines femmes héritent souvent les biens de leur mari à la suite de la mort de celui-ci , et pour eux semblaient que cette discussion n’a point d'intérêt .. Mais bien au contraire , les femmes n’ayant pas éprouvé cette idée , elles pensaient toutes que la justice était favorable aux hommes , et qu’ils exerçaient selon bon leur semble .Désormais , la discussion retentit partout dans la pièce, bientôt les gens ne s’entendaient pas entre eux, ils parlèrent à tort et à travers . Monsieur Flament prit la parole et défendit l’idée des hommes , Flament ayant hérité la fortune de son père à la mort de celui-ci , il soutenait vivement cette croyance :
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