Bonsoir j'ai besoin de votre aide en urgence sur cette question d'après le texte :
J’étais toujours envieux, en visite chez un camarade, quand s’ouvrait la porte sur un autre qui lui ressemblait quelque peu. Des cheveux en bataille, un sourire en coin qu’on me présentait en deux mots : « Mon frère ». Une énigme, cet intrus avec lequel il fallait tout partager, y compris l’amour. Un vrai frère. Un semblable dans le visage duquel on se découvrait pour trait commun une mèche rebelle ou une dent de loup, un compagnon de chambrée dont on savait le plus intime, les humeurs, les goûts, les faiblesses, les odeurs. Une étrangeté pour moi qui régnais seul sur l’empire des quatre pièces de l’appartement familial.
Quels sentiments le narrateur éprouve-t-il lorsqu’il rencontre le frère d’un camarade ? Relevez précisément les mots qui vous ont permis de répondre.
S'il vous plaît j'ai vraiment besoin de votre aide, si vous pouviez me donnez le maximum de sentiments justifiés.
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MaloooiiD
Et bien je dirai qu'il éprouve de la nostalgie ? Quelque chose de genre ? Car il décrit de près son frère. Ou même le fait d'être surpris de cette ressemblance ?
Ollie
Bonjour, le narrateur éprouve de l'envie ("J'étais toujours envieux..."), et c'est récurrent ("toujours"), parce qu'avoir un frère est pour lui une réalité très mystérieuse ("Une énigme, cet intrus..."), pour lui qui est fils unique ("Une étrangeté pour moi qui régnais seul sur l'empire des quatre pièces de l'appartement familial"). Le mystère est aussi dû au fait que le frère est à la fois semblable ("un autre qui lui ressemblait quelque peu") et très différent ("un intrus avec lequel il fallait tout partager"), d'où le sentiment ambivalent du narrateur (sorte de jalousie mêlée de curiosité).
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