Bonsoir , j'ai réellement besoin d'aide : Dans les deux dernières strophes de ce poème , qu'elle procédées littéraires est présent ? Merci beaucoup
Connais-tu, comme moi, la douleur savoureuse, Et de toi fais-tu dire : « Oh ! l’homme singulier ! » — J’allais mourir. C’était dans mon âme amoureuse, Désir mêlé d’horreur, un mal particulier ;
Angoisse et vif espoir, sans humeur factieuse. Plus allait se vidant le fatal sablier, Plus ma torture était âpre et délicieuse ; Tout mon cœur s’arrachait au monde familier.
J’étais comme l’enfant avide du spectacle, Haïssant le rideau comme on hait un obstacle… Enfin la vérité froide se révéla :
J’étais mort sans surprise, et la terrible aurore M’enveloppait. — Eh quoi ! n’est-ce donc que cela ? La toile était levée et j’attendais encore.
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travel25tra
L'anaphore rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'énergie au discours ou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggère une incantation, une urgence. Syntaxiquement, elle permet de créer un effet de symétrie.
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Ollie
Bonjour, il y a, à mon sens, deux procédés dans les dernières strophes (outre les classiques assonances et allitérations) :
- la comparaison (« comme l’enfant avide de spectacle », « comme on hait un obstacle »)
- et la métaphore du théâtre (« spectacle », « rideau », « toile levée »...)
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- la comparaison (« comme l’enfant avide de spectacle », « comme on hait un obstacle »)
- et la métaphore du théâtre (« spectacle », « rideau », « toile levée »...)