Pour Orphée, les gants servent de support magique pour entrer dans une autre dimension, et de protection aussi (seconde peau symbolique). Le miroir est une glace, mais quand Orphée ferme les yeux et imagine que le passage est possible, alors le miroir se transforme en eau (symbole = aller voir sous la surface). Il peut aussi y avoir un sens ésotérique : eau de source de la connaissance, par exemple, symbole de "baptême" pour une autre réalité, ou de mort à soi-même.
Chute d'Alice : un trou normal (terrier, en apparence) se transforme en pente raide, puis en gouffre très profond ; Alice tourne d'abord sur elle-même, ensuite sa robe sert de "parachute", elle s'enfonce dans les profondeurs, d'abord extrêmement vite, puis de façon très ralentie. Elle croit qu'elle va atteindre le centre de la terre, mais se retrouve dans un univers étrange où les meubles flottent dans les airs. Elle passe devant un miroir qui la reflète à l'envers, tombe dans une chaise à bascule, puis passe dans un goulet d'étranglement dans lequel elle se trouve à l'envers, comme la carte du monde d'ailleurs. C'est une logique d'inversion.
Pour le texte, il faudrait que je voie l'extrait précis en question, je ne peux rien en dire comme cela.
Pour Barbe-Bleue : il se fait passer pour un homme très bien élevé, très poli, très courtois et généreux (il invite à la campagne la mère et ses deux filles, plus d'autres invités, tous frais payés). En réalité, c'est un assassin, un tueur en série, qui a tué toutes ses épouses précédentes, et qui terrorise sa dernière femme en la condamnant à mort dès qu'il voit le sang sur la clé magique. Le suspense vient du fait que sa pauvre femme attend l'aide de ses frères, qui semblent ne pas pouvoir arriver à temps, d'où sa terreur - et celle du lecteur, qui panique aussi parce que les frères arrivent de justesse, à la toute dernière seconde.
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Ollie
Pourtant le verbe voir est effectivement beaucoup répété, parce qu’il faut pouvoir se repérer dans le gouffre sans fond, apparemment, puisqu’Alice pense arriver jusqu’au centre de la terre.
Ollie
Le texte paraît magique, fantastique, dans le sens où Alice aurait dû être tuée depuis longtemps par sa chute, de plus tomber dans un trou sans fond dans lequel on ne voit absolument rien est angoissant, mais ce n’est pas
Ollie
l’effet produit ; on est plus proche du conte ou du rêve, où même l’impossible (trouver des meubles qui flottent dans l’air) n’est finalement pas si étonnant.
Ollie
Voilà, j’espère que c’est plus clair pour toi !
mouniamebrek
j'ai une autre question que j'ai posé mais c'était il y a 7 heures plus si tu si tu veux voir c'est c'est dans mon profil je suis à voir avec question c'est sûrement un débat sur Barbe-Bleue si tu veux m'aider
mouniamebrek
slt ollie tu peut m aidez pour autre devoir en francais stp
mouniamebrek
Salut Ollie Olivier est-ce que que tu peux m'aider en français s'il te plaît
mouniamebrek
Salut olllie peut tu m aidez.en francais stp
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Bonsoir,
Pour Orphée, les gants servent de support magique pour entrer dans une autre dimension, et de protection aussi (seconde peau symbolique). Le miroir est une glace, mais quand Orphée ferme les yeux et imagine que le passage est possible, alors le miroir se transforme en eau (symbole = aller voir sous la surface). Il peut aussi y avoir un sens ésotérique : eau de source de la connaissance, par exemple, symbole de "baptême" pour une autre réalité, ou de mort à soi-même.
Chute d'Alice : un trou normal (terrier, en apparence) se transforme en pente raide, puis en gouffre très profond ; Alice tourne d'abord sur elle-même, ensuite sa robe sert de "parachute", elle s'enfonce dans les profondeurs, d'abord extrêmement vite, puis de façon très ralentie. Elle croit qu'elle va atteindre le centre de la terre, mais se retrouve dans un univers étrange où les meubles flottent dans les airs. Elle passe devant un miroir qui la reflète à l'envers, tombe dans une chaise à bascule, puis passe dans un goulet d'étranglement dans lequel elle se trouve à l'envers, comme la carte du monde d'ailleurs. C'est une logique d'inversion.
Pour le texte, il faudrait que je voie l'extrait précis en question, je ne peux rien en dire comme cela.
Pour Barbe-Bleue : il se fait passer pour un homme très bien élevé, très poli, très courtois et généreux (il invite à la campagne la mère et ses deux filles, plus d'autres invités, tous frais payés). En réalité, c'est un assassin, un tueur en série, qui a tué toutes ses épouses précédentes, et qui terrorise sa dernière femme en la condamnant à mort dès qu'il voit le sang sur la clé magique. Le suspense vient du fait que sa pauvre femme attend l'aide de ses frères, qui semblent ne pas pouvoir arriver à temps, d'où sa terreur - et celle du lecteur, qui panique aussi parce que les frères arrivent de justesse, à la toute dernière seconde.
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