L’homme doit penser avec son âme et sa conscience, et la loi pénalise ceux qui diraient des propos contraires à la démocratie d’une société, par exemple, dans notre pays. La présence du droit nous montre bien que l’on ne peut pas dire ce que l’on veut, donc ce qu’on pense : récemment, ces trois employés qui ont été licenciés parce qu’ils critiquaient leur entreprise sur Facebook sont un témoin de cette phrase célèbre "toute vérité n’est pas bonne à dire". Il est intéressant de constater que dans un pays comme les Etats-Unis, la liberté d’expression est sacrée : un individu peut passer à la télévision pour vous expliquer comment nier l’évidence quand un policier vous arrête en état d'ivresse, ou bien on arrive même à des aberrations comme les discours des membres du Ku klux Klanqui ouvertement ne cachent pas leur haine des Noirs. Néanmoins, même dans un tel pays, il existe des restrictions des pensées politiques sous restrictions. Par exemple, tout parti politique faisant référence au Nazisme est interdit. Ceci nie le droit de partager les idéologie des Nazis de la 2eme guerre mondiale, malgré une liberté entière de pensée présumée. De plus il existe des restrictions sur la limite de la pensée. En effet, un enfant éduqué à la croyance d’un Dieu, ou d’une idée qui est donc isolé jusqu'à l’âge de maturité, sans qu’on lui dise le contraire, ou qu’on lui change son avis, ne pourra pas penser autre chose. Sa pensée sur ce certain sujet ne pourra s’étendre plus loin que ce qu’il a appris à penser. Il s’agit d’un "lavage de cerveau" en quelque sorte, ce qui impose des fortes limites de pensée provenant et imposées par l’homme lui-même, sans qu’il en soit conscient ! La société jouant un grand rôle dans la liberté de pensée pongé cette question au fil du temps, dans un contexte historique. La pensé est un aspect psychologique de l’homme nature par la société. En Angleterre pendant l’ère victorienne, il y avait des lourdes restrictions sur la pensée. En effet, des censures bannissaient des livres dont la pensée allait au-delà des limites imposées par la société du 19eme siècle. Les oppressions religieuses dont se servaient les riches pour oppresser les ouvriers (en faisant en sorte qu’ils ne révoltent pas) étaient dûes à la manipulation de leur pensée. L’ouvrier du 19eme siècle croyait donc qu’il pensait librement, tandis que son savoir sur ce dont il pouvait penser était limité, sans d’autres références, sans qu’il se pose des questions sur sa propre situation, sur son propre étalonnage de pensée, sous "l’influence de la manipulation de sa pensée".
La pensée est un droit inaliénable, quelque soit le pays : un prisonnier perd tous ses droits, sauf celui de penser ; mais son expression se manifeste différemment suivant la culture dans laquelle nous vivons ; ce qui est admis dans une société ne l’est pas forcément dans une autre. Néanmoins les limites de la pensée et les influences de l’extérieur pouvant agir et manipuler les mécanismes de notre pensé peuvent limiter inconsciemment la pensée d’autrui. Il pensera librement, certes, mais sous des restrictions dont il en sera complètement inconscient. Dans ce cas, est il vraiment possible de penser ce que l’on veut sans avoir la lucidité de l’expérience d’une vision objective du monde ? Telle est une question qui dépend entièrement de la conscience et l’inconscience de la limite de la propre pensée de l’individu ainsi que sa détermination de se remettre en question sur ses valeurs et sa psychologie pour en venir à des conclusions : ce qu’on appelle une pensée.
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Valentino1
c'est pas sympa de supprimé certain commentaire pour s'octroyé les points et le mérite
maudmarine
les points je m'en fiche, et comme tu dis je supprime les commentaires car ils n'ont rien à faire en case réponse. De plus j'ai répondu en même temps que toi donc je n'ai pas pris ta place une fois supprimée, mais après avoir terminé ma réponse, j'ai vu que la tienne ne convenait pas
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Bonsoir,L’homme doit penser avec son âme et sa conscience, et la loi pénalise ceux qui diraient des propos contraires à la démocratie d’une société, par exemple, dans notre pays. La présence du droit nous montre bien que l’on ne peut pas dire ce que l’on veut, donc ce qu’on pense : récemment, ces trois employés qui ont été licenciés parce qu’ils critiquaient leur entreprise sur Facebook sont un témoin de cette phrase célèbre "toute vérité n’est pas bonne à dire". Il est intéressant de constater que dans un pays comme les Etats-Unis, la liberté d’expression est sacrée : un individu peut passer à la télévision pour vous expliquer comment nier l’évidence quand un policier vous arrête en état d'ivresse, ou bien on arrive même à des aberrations comme les discours des membres du Ku klux Klanqui ouvertement ne cachent pas leur haine des Noirs. Néanmoins, même dans un tel pays, il existe des restrictions des pensées politiques sous restrictions. Par exemple, tout parti politique faisant référence au Nazisme est interdit. Ceci nie le droit de partager les idéologie des Nazis de la 2eme guerre mondiale, malgré une liberté entière de pensée présumée.
De plus il existe des restrictions sur la limite de la pensée. En effet, un enfant éduqué à la croyance d’un Dieu, ou d’une idée qui est donc isolé jusqu'à l’âge de maturité, sans qu’on lui dise le contraire, ou qu’on lui change son avis, ne pourra pas penser autre chose. Sa pensée sur ce certain sujet ne pourra s’étendre plus loin que ce qu’il a appris à penser. Il s’agit d’un "lavage de cerveau" en quelque sorte, ce qui impose des fortes limites de pensée provenant et imposées par l’homme lui-même, sans qu’il en soit conscient !
La société jouant un grand rôle dans la liberté de pensée pongé cette question au fil du temps, dans un contexte historique. La pensé est un aspect psychologique de l’homme nature par la société. En Angleterre pendant l’ère victorienne, il y avait des lourdes restrictions sur la pensée. En effet, des censures bannissaient des livres dont la pensée allait au-delà des limites imposées par la société du 19eme siècle. Les oppressions religieuses dont se servaient les riches pour oppresser les ouvriers (en faisant en sorte qu’ils ne révoltent pas) étaient dûes à la manipulation de leur pensée. L’ouvrier du 19eme siècle croyait donc qu’il pensait librement, tandis que son savoir sur ce dont il pouvait penser était limité, sans d’autres références, sans qu’il se pose des questions sur sa propre situation, sur son propre étalonnage de pensée, sous "l’influence de la manipulation de sa pensée".
La pensée est un droit inaliénable, quelque soit le pays : un prisonnier perd tous ses droits, sauf celui de penser ; mais son expression se manifeste différemment suivant la culture dans laquelle nous vivons ; ce qui est admis dans une société ne l’est pas forcément dans une autre. Néanmoins les limites de la pensée et les influences de l’extérieur pouvant agir et manipuler les mécanismes de notre pensé peuvent limiter inconsciemment la pensée d’autrui. Il pensera librement, certes, mais sous des restrictions dont il en sera complètement inconscient. Dans ce cas, est il vraiment possible de penser ce que l’on veut sans avoir la lucidité de l’expérience d’une vision objective du monde ? Telle est une question qui dépend entièrement de la conscience et l’inconscience de la limite de la propre pensée de l’individu ainsi que sa détermination de se remettre en question sur ses valeurs et sa psychologie pour en venir à des conclusions : ce qu’on appelle une pensée.