Bonsoir !
J'ai une écriture d'invention à faire avec ce sujet : "Au
moment des soldes, vous apercevez un groupe de personnes
particulièrement agitées et fiévreuse devant les vitrines. Vous les
suivez à travers les rues ou à l'interieur d'un grand magasin pour les
observer. Faites le recit de leur périple en vous attachant à montrer
l'incohérence, voire le ridicule, de leurs envies et de leurs
comportement de consommateur"
On l'a deja fait en classe et la prof m'a dit que mon travail était
en point de vue omniscient et non interne donc j'aimerais que vous me
disiez ce qui est en point de vu omniscient s'il vous plait ! Et aussi
si vous voyez des choses à améliorer.
Voici mon travail :
Ils se trouvaient toujours la pendant les soldes, une foule de
gens presque inhumains. Ils se tenaient debout devant les vitrines de
magasins encore fermés, immobiles, pareils à des prédateurs attendant le
bon moment pour sauter sur leurs proies. Ils regardaient les vitrines
sans s'en lasser, l'aire féroce. Ils marchaient, de vitrine en vitrine,
puis s'immobilisèrent devant chacune d'elles. Boutiques de chaussures,
de vêtement, de livres, d'ordinateurs, de chocolats, de charcuteries, de
meubles anciens..
A chaque vitrines leurs yeux s'émerveillaient comme s'ils venaient de voir des divinités. Ils étaient excités,
nerveux, stresses et fiévreux devant leurs vitrines qu'ils idolâtraient
tant. Nous pouvions lire sur leur visage une satisfaction qui se
transforma de plus en plus en un sentiment de désespoir. Cette
expression était visible a chaque mètre, à chaque vitrines. Puis ils
entrèrent dans un grand magasin de plusieurs étages et large de
plusieurs mètres, faisant office de monument de la ville où l'on
distinguait par les vitrines différentes couleurs flashy,
des robes de toutes formes, des pantalons de toutes tailles, des
chapeaux de tout styles ainsi que des chaussures aussi différentes les
uns que les autres
Après qu'ils sont rentres dans ce grand magasin, leur
comportement changea. Ils devenaient agites, impatient, égoïste et
hypocrites. Ils parcoururent les différentes allées du magasin attrapant
différents items, sans même savoir s'ils avaient la somme nécessaire en
poche. Ils s'arrachaient la dernière paire de chaussures en cuire
rouge, le dernier mentaux en velours noir au col doré, le dernier chemisier Dior tels des chiens s'arrachant le dernier or trouvé.
Ils passaient plusieurs heures dans ces différents magasins, les bras remplient, mais continuant leur quête
Ils arrivèrent dans un autre magasin remplit d'antiquité contenant de
grands meubles en bois, qui brillaient comme de l'eau claire. Il y
avait de grands tissus dores, de la soie, du velours, des tissus
argentés, du satin, des tissus aux motifs différents.
Ils voulaient tout acheter.
Arrives dans une bijouterie, le nez collé aux vitres, une femme,
hésitant sur trois colliers, l'un en perles nacrés brillant à la
lumière, l'autre en or fin et enfin un dernier en argent recouvrant tout
son cou, les acheta tous.
Le magasin était tellement remplit que l'on se demandait comment il
était possible de respirer en étant autant agités et fiévreux.
Cependant, ils avaient tous un comportement différent, bien que
ridicule. Nous pouvions voir, par leurs visages émerveilles et excites
de petits enfants le matin de Noël qu'ils ne vivaient que pour cela.
Merci !
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gens presque inhumains. Ils se tenaient debout devant les vitrines de
magasins encore fermés, immobiles, pareils à des prédateurs attendant le
bon moment pour sauter sur leurs proies. Ils regardaient les vitrines
sans s'en lasser, l'aire(sans -e) féroce. Ils marchaient, de vitrine en vitrine,
puis s'immobilisèrent devant chacune d'elles. Boutiques de chaussures,
de vêtements, de livres, d'ordinateurs, de chocolats, de charcuteries, de
meubles anciens..
A chaque vitrines leurs yeux s'émerveillaient comme s'ils venaient de voir des divinitées. Ils étaient excités,nerveux, stressés et fiévreux devant leurs vitrines qu'ils idolâtraient tant. Nous pouvions (c'est un point de vue interne donc dans la tête d'un seul personnage,donc "il pouvait") lire sur leur visage une satisfaction qui se
transforma de plus en plus en un sentiment de désespoir. Cette
expression était visible a chaque mètre, à chaque vitrines(pas de -s). Puis ils
entrèrent dans un grand magasin de plusieurs étages et large de
plusieurs mètres, faisant office de monument de la ville où l'on
distinguait par les vitrines différentes couleurs flashy,
des robes de toutes formes, des pantalons de toutes tailles, des
chapeaux de tout styles ainsi que des chaussures aussi différentes les
unes que les autres
Après qu'ils sont(le verbe le plus approprié est "soient") rentres dans ce grand magasin, leur
comportement changea. Ils devenaient agités, impatients, égoïstes et
hypocrites. Ils parcoururent les différentes allées du magasin attrapant
différents items, sans même savoir s'ils avaient la somme nécessaire en
poche. Ils s'arrachaient la dernière paire de chaussures en cuire(pas de -e)
rouge, le dernier menteaux(pas de -x) en velours noir au col doré, le dernier chemisier Dior tels des chiens s'arrachant le dernier or trouvé.
Ils passaient plusieurs heures dans ces différents magasins, les bras remplient(pas de -ent mais -is à la place), mais continuant leur quête
Ils arrivèrent dans un autre magasin remplit d'antiquités contenant de
grands meubles en bois, qui brillaient comme de l'eau claire. Il y
avait de grands tissus dores, de la soie, du velours, des tissus
argentés, du satin, des tissus aux motifs différents.
Ils voulaient tout acheter.
Arrivés dans une bijouterie, le nez collé aux vitres, une femme,
hésitant sur trois colliers, l'un en perles nacrés brillant à la
lumière, l'autre en or fin et enfin un dernier en argent recouvrant tout
son cou, les acheta tous.
Le magasin était tellement remplit que l'on(c'est donc "quil se...") se demandait comment il était possible de respirer en étant autant agités et fiévreux.
Cependant, ils avaient tous un comportement différent, bien que
ridicule. Nous pouvions(c'est "il pouvait") voir, par leurs visages émerveillés et excités de petits enfants le matin de Noël qu'ils ne vivaient que pour cela.