Bonsoir tiens je te donne une rédaction que j'avais fait en 3 eme

La poupée

j'avais une passion dans la vie : les poupées. Elles remplissaient ma maison… Ce qui à mon âge était plutôt étonnant. Dès que j’en voyais, une irrésistible envie me poussais à l’acheter. Quelque soit son apparence. Mais il y a environ deux ou trois semaines, lorsque je me promenais dans la brocante annuelle de mon village, je vis cette femme d’une quarantaine d’année aux yeux cernés, et aux traits tirés laissant apparaître quelques rides. Son air triste et désespéré me poussa à m’approcher de son étalage. Á ma grande surprise, il n’y avait qu’un seul article : une poupée, une seule. Elle mesurait environ 30cm, son regard plissé me faisait frissonner, ses cheveux couleur ébène tombaient sur son dos, elle faisait presque peur à voir… Ce qui m’attirais chez elle ? Je ne peux l’expliquer, c’était sans doute qu’elle n’avait que 4 doigts ! Je l’achetai et au moment où j'eus entre mes mains la poupée que me tendait la femme, le ciel devint gris et sombre, et un coup de tonnerre gronda. Il me semblait que les yeux de la poupée avaient clignoté.. Mais c'était sûrement moi qui perdais la tête. Je la fourrai au fond de mon sac. Je ne voulais plus la voir... Une fois chez moi, je déposais mon sac dans le salon sans pour autant en sortir la poupée. Plus tard, son image me hantait toujours mais je ne parvenais pas à la sortir de mon sac pour la regarder... J'allais ensuite me coucher et en pleine nuit, je me réveilla en sursaut, il me sembla avoir entendu un bruit dans le salon. Etant d'une nature très curieuse, je descendis les escaliers doucement. Une fois dans le salon, je pus découvrir avec étonnement mon sac ouvert et son contenu étalé sur le sol ! Je fis encore un pas, et je pus découvrir ma télévision allumée ! Je croyais pourtant l’avoir éteinte…Je l'éteigna donc et je me retournai pour ranger mon sac. En ramassant mes affaires, je vis avec horreur que la poupée manquait … Soudainement, j’entendis ma douche s’allumer ! Paniquée, je courus jusqu’à ma salle de bain qui était à l’étage. Et à chaque marche, une angoisse grandissante montait en moi… J’atteignis le palier, tremblante ! Je continuais jusqu’à la salle de bain où ma douche était bel et bien allumée. Mais pourtant il n’y avait personne