bonsoir, je suis en seconde et j’ai un discours en français à préparer pour demain mais je suis à court d’idée. Il s’agit de trouver des arguments contre le fait que « le masculin l’emporte toujours sur le féminin ». Qui peut m’aider s’il vous plaît ? Merci d’avance
arguments contre "le masculin l'emporte sur le féminin"
1) définition du masculin et du féminin
2) cela reste des concepts mis en place par la société, dans le fond ce sont des concepts absurdes qui sont établis et renforcés par l'éducation puisque toutes les personnalités sont différentes. (ça c'est un point de vue perso)
3) observons cinq minutes le monde animal : dans de nombreux cas ce sont les femelles qui dirigent le groupe (ex: les éléphants)
4) oublions le monde animal et observons l'humains, dans de nombreuses sociétés ou groupes sociaux ce sont les femmes qui dirigent
5) si la possibilité leur est laissée dans la société les femmes s'illustrent dans de nombreux domaines, notamment scientifiques et s'en sorte tout aussi bien que les hommes
6) revenons au monde animal et à ces charmantes femelles qui se contentent de considérer le mal comme un repas sympa après l'accouplement (discutable d'un point de vue éthique mais côté rapport de force c'est assez explicite)
7) il suffit d'observer les enfants, les jouets de "filles" ou de "garçons" n'existent que dans le regard des adultes. les enfants jouent, tout simplement.
8) le masculin et le féminin sont finalement deux concepts qui se complètent. L'image du yin et du yang en est une bonne illustration.
Tout masculin comporte une part de féminin et inversement, c'est cela qui crée une harmonie
Réponse : Il existe de par le monde de nombreuses société matriarcales. matriarcale veut dire dirigée par des femmes. Et dans l'antiquité voir le mythe des amazones
Explications : Sur tous les continents ils existent des sociétés matriarcales.
En afrique:
. Les Bijagos de Guinée Bissau
Cette tribu matriarcale se trouve sur l’île d’Orango Grande dans l’archipel des Bijagos au large de la Guinée. Là-bas, ce sont les femmes qui dirigent. Elles décident de tout, des dépenses du quotidien, jusqu’à l’application des lois. Ce sont elles également qui répartissent les terres (qu’elles possèdent) laissant aux hommes le soin d’en extraire de quoi subvenir aux besoins de leurs familles. Et visiblement, aucun homme ne s’est pour l’instant élevé contre cette suprématie féminine. Il faut dire que dans leur culture, c’est Dieu qui aurait décidé que les femmes seraient les vrais patrons de l’île.
Prête à prendre le pouvoir ?
Source : madmoizelle
En Indes:
Les Khasi en Inde
Installés au Nord-Est de l’Inde, dans l’État du Meghalaya, les Khasi sont une des rares communautés indiennes où la naissance d’une fille est davantage fêtée que celle d’un garçon. Et pour cause : chez eux, la plus jeune fille de la famille deviendra la chef de famille, l’héritière et la gardienne des traditions familiales. En échange, elles sont dispensées de corvées domestiques jusqu’à l’âge adulte. Les hommes quant à eux ne la ramènent pas trop. Ils ne possèdent rien, n’hériteront jamais et perdent tout en cas de divorce.
En Amerique du sud:
Ici au paraguay la polygamie n'est plus une exclusivité masculine
. Les Guayakis du Paraguay
Chez les Guayakis, ce sont les femmes qui choisissent leurs partenaires. Et le pluriel est ici primordial. En effet, selon leurs croyances, il faudrait le sperme de plusieurs pères pour qu’un enfant naisse en bonne santé. Résultat, les femmes ont souvent deux maris dans leur vie. On ne sait pas si les hommes y trouvent leur compte, mais la mortalité infantile est particulièrement basse au sein de cette communauté.
En extrème Orient
Les Lao de Thaïlande
Les Lao forment un groupe ethnique que l’on retrouve essentiellement au nord-est de la Thaïlande (et un peu chez les voisins aussi). Chez eux, ce sont les femmes (les cadettes pour être précis) qui héritent de la famille. Ce sont elles encore qui gèrent tout ce qui touche au quotidien de la maison, finances comprises. En y réfléchissant bien, c’est comme chez nous, sauf que les Lao, eux, assument fièrement le rôle prédominant des femmes
Et même dans le pays musulman le plus peuplé du monde.
Les Minangkabau d’Indonésie
Les Minangkabau de l’île de Sumatra en Indonésie forment une société matriarcale musulmane. Ici, ce sont les femmes qui portent le pantalon. Elles gèrent à la fois les finances, prennent les décisions importantes au quotidien, sans oublier de s’occuper de la maison. Ce sont également elles qui transmettent les biens de la famille à leur décès. Par contre, elles délèguent l’éducation de leurs enfants à leur oncle, qui ont sacrément intérêt à filer droit
Et la Chine. Les Moso peut être la société matriarcale la plus connue grâce aux nombreux reportages tournés sur cette société.
Les Moso en Chine
Chez cette ethnie du sud-ouest de la Chine, les hommes ne font certes pas le ménage ni la vaisselle, mais ce sont eux qui s’occupent des gamins. Enfin, pas les leurs, ceux de leurs sœurs. Ne cherchez pas à comprendre, on appelle ça une société avunculaire, c’est-à-dire où ce sont les oncles maternels qui jouent le rôle de père. Pendant ce temps, les femmes s’occupent certes des tâches domestiques, mais elles sont plus libres qu’ailleurs : elles ont par exemple le droit d’aller batifoler avec qui elles veulent (les hommes aussi ça tombe bien). Ce sont elles également qui possèdent l’argent du ménage. En cas de décès, l’héritage n’est transmis que par la femme. C’est aussi elle qui donne son nom de famille à ses enfants
Et pour finir un peu de folklore. En Europe
. Les femmes de l’île de Kihnu, en Estonie
On ne va pas se mentir, cette société matriarcale ressemble plus aujourd’hui à du folklore qu’à un mode de vie pérenne. La faute en partie aux touristes qui ont envahi cette petite île isolée d’Estonie et ont peu à peu dénaturé la vie sur place. Cette communauté dirigée par les femmes ne comporte plus que 600 âmes et pas vraiment dans la force de l’âge. La pêche ne permet plus aux familles de subvenir à leurs besoins et c’est tout un style de vie qui est en train de disparaître, en même temps que les jeunes, obligés de quitter l’île pour assurer leur avenir.
Comme tu vois tu as de quoi argumenter.
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rahmalinakadi
Le masculin peut être certes très fort mais ne vinquera jamais la femme dans tous les sens du terme le genre féminin est le genre masculin est une grande chose le masculin est dis comme fort est la femme est désigné comme la sincérité est l’empatie...
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bonjour,
arguments contre "le masculin l'emporte sur le féminin"
1) définition du masculin et du féminin
2) cela reste des concepts mis en place par la société, dans le fond ce sont des concepts absurdes qui sont établis et renforcés par l'éducation puisque toutes les personnalités sont différentes. (ça c'est un point de vue perso)
3) observons cinq minutes le monde animal : dans de nombreux cas ce sont les femelles qui dirigent le groupe (ex: les éléphants)
4) oublions le monde animal et observons l'humains, dans de nombreuses sociétés ou groupes sociaux ce sont les femmes qui dirigent
5) si la possibilité leur est laissée dans la société les femmes s'illustrent dans de nombreux domaines, notamment scientifiques et s'en sorte tout aussi bien que les hommes
6) revenons au monde animal et à ces charmantes femelles qui se contentent de considérer le mal comme un repas sympa après l'accouplement (discutable d'un point de vue éthique mais côté rapport de force c'est assez explicite)
7) il suffit d'observer les enfants, les jouets de "filles" ou de "garçons" n'existent que dans le regard des adultes. les enfants jouent, tout simplement.
8) le masculin et le féminin sont finalement deux concepts qui se complètent. L'image du yin et du yang en est une bonne illustration.
Tout masculin comporte une part de féminin et inversement, c'est cela qui crée une harmonie
Réponse : Il existe de par le monde de nombreuses société matriarcales. matriarcale veut dire dirigée par des femmes. Et dans l'antiquité voir le mythe des amazones
Explications : Sur tous les continents ils existent des sociétés matriarcales.
En afrique:
. Les Bijagos de Guinée Bissau
Cette tribu matriarcale se trouve sur l’île d’Orango Grande dans l’archipel des Bijagos au large de la Guinée. Là-bas, ce sont les femmes qui dirigent. Elles décident de tout, des dépenses du quotidien, jusqu’à l’application des lois. Ce sont elles également qui répartissent les terres (qu’elles possèdent) laissant aux hommes le soin d’en extraire de quoi subvenir aux besoins de leurs familles. Et visiblement, aucun homme ne s’est pour l’instant élevé contre cette suprématie féminine. Il faut dire que dans leur culture, c’est Dieu qui aurait décidé que les femmes seraient les vrais patrons de l’île.
Prête à prendre le pouvoir ?
Source : madmoizelle
En Indes:
Les Khasi en Inde
Installés au Nord-Est de l’Inde, dans l’État du Meghalaya, les Khasi sont une des rares communautés indiennes où la naissance d’une fille est davantage fêtée que celle d’un garçon. Et pour cause : chez eux, la plus jeune fille de la famille deviendra la chef de famille, l’héritière et la gardienne des traditions familiales. En échange, elles sont dispensées de corvées domestiques jusqu’à l’âge adulte. Les hommes quant à eux ne la ramènent pas trop. Ils ne possèdent rien, n’hériteront jamais et perdent tout en cas de divorce.
En Amerique du sud:
Ici au paraguay la polygamie n'est plus une exclusivité masculine
. Les Guayakis du Paraguay
Chez les Guayakis, ce sont les femmes qui choisissent leurs partenaires. Et le pluriel est ici primordial. En effet, selon leurs croyances, il faudrait le sperme de plusieurs pères pour qu’un enfant naisse en bonne santé. Résultat, les femmes ont souvent deux maris dans leur vie. On ne sait pas si les hommes y trouvent leur compte, mais la mortalité infantile est particulièrement basse au sein de cette communauté.
En extrème Orient
Les Lao de Thaïlande
Les Lao forment un groupe ethnique que l’on retrouve essentiellement au nord-est de la Thaïlande (et un peu chez les voisins aussi). Chez eux, ce sont les femmes (les cadettes pour être précis) qui héritent de la famille. Ce sont elles encore qui gèrent tout ce qui touche au quotidien de la maison, finances comprises. En y réfléchissant bien, c’est comme chez nous, sauf que les Lao, eux, assument fièrement le rôle prédominant des femmes
Et même dans le pays musulman le plus peuplé du monde.
Les Minangkabau d’Indonésie
Les Minangkabau de l’île de Sumatra en Indonésie forment une société matriarcale musulmane. Ici, ce sont les femmes qui portent le pantalon. Elles gèrent à la fois les finances, prennent les décisions importantes au quotidien, sans oublier de s’occuper de la maison. Ce sont également elles qui transmettent les biens de la famille à leur décès. Par contre, elles délèguent l’éducation de leurs enfants à leur oncle, qui ont sacrément intérêt à filer droit
Et la Chine. Les Moso peut être la société matriarcale la plus connue grâce aux nombreux reportages tournés sur cette société.
Les Moso en Chine
Chez cette ethnie du sud-ouest de la Chine, les hommes ne font certes pas le ménage ni la vaisselle, mais ce sont eux qui s’occupent des gamins. Enfin, pas les leurs, ceux de leurs sœurs. Ne cherchez pas à comprendre, on appelle ça une société avunculaire, c’est-à-dire où ce sont les oncles maternels qui jouent le rôle de père. Pendant ce temps, les femmes s’occupent certes des tâches domestiques, mais elles sont plus libres qu’ailleurs : elles ont par exemple le droit d’aller batifoler avec qui elles veulent (les hommes aussi ça tombe bien). Ce sont elles également qui possèdent l’argent du ménage. En cas de décès, l’héritage n’est transmis que par la femme. C’est aussi elle qui donne son nom de famille à ses enfants
Et pour finir un peu de folklore. En Europe
. Les femmes de l’île de Kihnu, en Estonie
On ne va pas se mentir, cette société matriarcale ressemble plus aujourd’hui à du folklore qu’à un mode de vie pérenne. La faute en partie aux touristes qui ont envahi cette petite île isolée d’Estonie et ont peu à peu dénaturé la vie sur place. Cette communauté dirigée par les femmes ne comporte plus que 600 âmes et pas vraiment dans la force de l’âge. La pêche ne permet plus aux familles de subvenir à leurs besoins et c’est tout un style de vie qui est en train de disparaître, en même temps que les jeunes, obligés de quitter l’île pour assurer leur avenir.
Comme tu vois tu as de quoi argumenter.