Bonsoir je voudrais de l'aide sur ces questions s'il vous plait ! Merci beaucoup d'avance ! 1) Expliquez la phrase « on n'est pas juste par choix mais par contrainte » 2) Expliquez la phrase « on ne regarde pas la justice comme un bien individuel» 3)Quel sont les repères en jeu ? Expliquez les ( j'ai le texte de la Réplique de platon ) et quand on parle de repère je dois dire quoi concrètement ?
1- Dans la phrase "On n'est pas juste par choix mais par contrainte", l'on note l'opposition entre les termes "choix" et "contraintes", que l'adversatif "mais" oppose.
La notion de choix induit ici celle de liberté. Elle sous entend que nos choix sont fait selon notre libre arbitre, aussi l'on peut déjà interroger ce présupposé. A l'inverse, celle de "contrainte" relève du non choix, du choix induit et forcé, de manière consciente ou non.
Ces deux notions s'opposent quant à celle de justesse. Or le juste, le bien, est subjectif. Selon les sociétés, le juste ne sera pas placé au même endroit. Ainsi, pour certain, la peine de mort d'un criminel est une peine juste, issue de la justice, tandis que pour d'autres, elle ne l'est pas, est est une hérésie.
Ainsi l'on voit que la phrase est paradoxale : elle affirme que le juste, qui est pourtant subjectif, n'est jamais issu de notre potentiel libre arbitre, mais bel et bien de ce qui nous conditionne, nous environne.
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1- Dans la phrase "On n'est pas juste par choix mais par contrainte", l'on note l'opposition entre les termes "choix" et "contraintes", que l'adversatif "mais" oppose.
La notion de choix induit ici celle de liberté. Elle sous entend que nos choix sont fait selon notre libre arbitre, aussi l'on peut déjà interroger ce présupposé. A l'inverse, celle de "contrainte" relève du non choix, du choix induit et forcé, de manière consciente ou non.
Ces deux notions s'opposent quant à celle de justesse. Or le juste, le bien, est subjectif. Selon les sociétés, le juste ne sera pas placé au même endroit. Ainsi, pour certain, la peine de mort d'un criminel est une peine juste, issue de la justice, tandis que pour d'autres, elle ne l'est pas, est est une hérésie.
Ainsi l'on voit que la phrase est paradoxale : elle affirme que le juste, qui est pourtant subjectif, n'est jamais issu de notre potentiel libre arbitre, mais bel et bien de ce qui nous conditionne, nous environne.