Bonsoir merci d’avance pour les personnes qui m’aideront Récrivez le texte en le ponctuant et en ajoutant les majuscules nécessaires.
je ne sais où se sont brisés les fils qui me rattachent à mon enfance comme tout le monde ou presque j'ai eu un père et une mère un pot un lit-cage un hochet et plus tard une bicyclette que parait-il je enfourchais jamais sans pousser des hurlements de terreurà la seule idée qu'on allait vouloir relever ou même enlever les deux petites roues adjacentes qui m'assuraient ma stabilité comme tout le monde j'ai tout oublié de mes premières années d'existence
Je ne sais où se sont brisés les fils qui me rattachent à mon enfance. Comme tout le monde, ou presque, j'ai eu un père et une mèree, un pot, un lit-cage, un hochet, et, plus tard, une bicyclette que, paraît-il, j'enfourchais jamais sans pousser des hurlement de terreur, à la seule idée qu'on allait vouloir relever les deux petites roues adjacentes qui m'assuraient ma stabilité. Comme tout le monde, j'ai tout oublié de mes premières années d'existence.
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dominiquecorbeau
Bonsoir ! Pouvez vous m'aider en francais pour corriger s'il vous plaît ?
Je ne sais où se sont brisés les fils qui me rattachent à mon enfance. Comme tout le monde ou presque j'ai eu un père et une mère, un pot, un lit-cage, un hochet, et plus tard une bicyclette que, parait-il, je n'enfourchais jamais sans pousser des hurlements de terreur à la seule idée qu'on allait vouloir relever ou même enlever les deux petites roues adjacentes qui m'assuraient ma stabilité. Comme tout le monde, j'ai tout oublié de mes premières années d'existence.
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bonsoir
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Je ne sais où se sont brisés les fils qui me rattachent à mon enfance. Comme tout le monde, ou presque, j'ai eu un père et une mèree, un pot, un lit-cage, un hochet, et, plus tard, une bicyclette que, paraît-il, j'enfourchais jamais sans pousser des hurlement de terreur, à la seule idée qu'on allait vouloir relever les deux petites roues adjacentes qui m'assuraient ma stabilité. Comme tout le monde, j'ai tout oublié de mes premières années d'existence.
Bonjour, voilà :
Je ne sais où se sont brisés les fils qui me rattachent à mon enfance. Comme tout le monde ou presque j'ai eu un père et une mère, un pot, un lit-cage, un hochet, et plus tard une bicyclette que, parait-il, je n'enfourchais jamais sans pousser des hurlements de terreur à la seule idée qu'on allait vouloir relever ou même enlever les deux petites roues adjacentes qui m'assuraient ma stabilité. Comme tout le monde, j'ai tout oublié de mes premières années d'existence.