Bonsoir pourriez vous y réponde au plus vite : est-ce que vous pourriez me faire un abécédaire sur Le horla de Maupassant
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aichatourediallo4 A comme Angoisse : L'angoisse fut terrible pour le narrateur lors de cette nuit du 25 mai, une sombre et longue nuit pendant laquelle il éprouve le sentiment d'être étranglé.
B comme Brésil, A la fin, il découvre, grâce à un article de presse, que c'est du Brésil que provient la créature qui a pris possession de son corps, et que c'est sur ce voilier qu'elle a voyagé jusqu'à lui.
C comme le Cauchemar atroce et épouvantable qu'il vit ou plutôt rêve chaque nuit. Il sent quelqu'un sur lui qui boit sa vie entre ses lèvres. « Cauche » qui vient de l'ancien français signifie « presser fouler » et « mare » signifie « fantôme ». Cauchemar est employé au sens de « suffocation ». Comme dans le Cauchemar du peintre Fussli, représenté par la "jument de la nuit" et un incube grimaçants.
D comme Doute, celui qu'exprime le narrateur après avoir fait ses cauchemars. Il hésite à croire qu'il est fou.
E comme Épouvante. Le narrateur éprouve chaque nuit un violent effroi , une peur soudaine qui le fait paniquer.
F comme Folie. Le narrateur se prend pour un fou car il se croit schizophrène, hanté par le Horla lors de la nuit du 5 Juillet .
G comme Guérison. Ce que le narrateur désire au plus profond de lui, c'est guérir. Il va voir le médecin, puis rencontre un hypnotiseur. Et son journal intime peut finalement être destiné à un psychiatre
H comme Horla : C'est le nom que le narrateur donne à la créature invisible qui hante son esprit. Il le baptise ainsi après la lecture d'un article provenant de Rio. Cette nouvelle décrit les mêmes symptômes et visions qu'il éprouve ; d'autre personnes subissent donc la présence d'une étrange créature pareille à la sienne. Il l'ont surnommée le "Horla".
I comme Inquiétude. Le narrateur s'inquiète de son état. Il se croit d'abord malade. Puis il se croit schizophrène ou hanté, jusqu'à ce qu'il ait la preuve de l'existence du Horla grâce à un article de journal .
J comme le Journal intime que le narrateur rédige durant son cauchemar pour se rappeler de ce qu'il s'est passé. Le Journal intime est une somme de textes écrits quotidiennement et datés, dans lesquels celui qui l'écrit se dévoile sans mentir.
L comme Lit, ce lieu de sommeil que le narrateur redoute chaque soir. Va t-il cauchemarder ? Va t-il mourir ? Ce sont toutes les questions qu'il se pose…" L'oppression d'une crainte confuse et irrésistible, la crainte du sommeil, la crainte du lit".
M comme Mystère. Le narrateur n'arrive plus à dormir mais il ne sait pas pourquoi. Il passe des jours et des jours à enquêter, quand il s’aperçoit finalement que c'est le Horla qui l'en empêche. Il ne peut même pas le voir car le Horla est invisible.
N comme la Nuit: C'est la nuit que la peur l'envahit. Pour lui, la nuit signifie "cauchemar, peur et insomnie". La nuit est utilisée dans les histoires fantastiques car depuis la "nuit des temps", c'est à dire la Préhistoire, la nuit fait peur. L'obscurité augmente l'angoisse, car "la nuit, tous les chats sont gris". Comme la brume dans les contes celtes ou scandinaves, la nuit favorise les hallucinations.
O comme Oppression. L'oppression est une sensation d'un poids sur la poitrine. Le narrateur ressent cette oppression au moment de s'endormir.
P comme Peur, le narrateur a très peur la nuit, il sent une présence qu'il n'identifie pas. Il a la peur du lit et il ne veut pas aller se coucher de peur d'avoir peur !
Q comme QUI ? Le narrateur se demande qui le hante pendant la nuit dans ses rêves, qui a bu le lait et l'eau à son insu durant son sommeil, et qui est la créature invisible qui cueille la rose dans le jardin sous ses yeux !
R comme Rêve. Le narrateur sent dans son rêve qu'il y a quelqu'un qui s'approche de lui, le regarde, le palpe, monte sur son lit, s'agenouille sur sa poitrine, lui prend le cou entre ses mains et serre, serre de toute sa force pour l'étrangler.
S comme Strangulation : Le personnage principal cauchemarde et croit mourir par strangulation (du latin "angere" qui signifie "serrer"), sous la pression d'une personne ou d'une chose qui lui écrase la poitrine. Cela évoque la figure de l'incube (du latin "incubus" signifiant "couché sur"), sorte de démon qui pèse sur la poitrine de ses victimes endormies jusqu'à les étouffer.
T comme Tuer. Le narrateur tente de tuer le Horla en brûlant sa maison, sauf qu'il n'est pas sûr
de l'avoir tué. Mais en incendiant sa demeure, ce sont ses domestiques qui meurent !
V comme Voilier ou le «Trois-mâts brésilien tout blanc, admirablement propre et luisant» qui passe devant la maison du narrateur au début de la nouvelle .
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A comme Angoisse : L'angoisse fut terrible pour le narrateur lors de cette nuit du 25 mai, une sombre et longue nuit pendant laquelle il éprouve le sentiment d'être étranglé.
B comme Brésil, A la fin, il découvre, grâce à un article de presse, que c'est du Brésil que provient la créature qui a pris possession de son corps, et que c'est sur ce voilier qu'elle a voyagé jusqu'à lui.
C comme le Cauchemar atroce et épouvantable qu'il vit ou plutôt rêve chaque nuit. Il sent quelqu'un sur lui qui boit sa vie entre ses lèvres. « Cauche » qui vient de l'ancien français signifie « presser fouler » et « mare » signifie « fantôme ». Cauchemar est employé au sens de « suffocation ». Comme dans le Cauchemar du peintre Fussli, représenté par la "jument de la nuit" et un incube grimaçants.
D comme Doute, celui qu'exprime le narrateur après avoir fait ses cauchemars. Il hésite à croire qu'il est fou.
E comme Épouvante. Le narrateur éprouve chaque nuit un violent effroi , une peur soudaine qui le fait paniquer.
F comme Folie. Le narrateur se prend pour un fou car il se croit schizophrène, hanté par le Horla lors de la nuit du 5 Juillet .
G comme Guérison. Ce que le narrateur désire au plus profond de lui, c'est guérir. Il va voir le médecin, puis rencontre un hypnotiseur. Et son journal intime peut finalement être destiné à un psychiatre
H comme Horla : C'est le nom que le narrateur donne à la créature invisible qui hante son esprit. Il le baptise ainsi après la lecture d'un article provenant de Rio. Cette nouvelle décrit les mêmes symptômes et visions qu'il éprouve ; d'autre personnes subissent donc la présence d'une étrange créature pareille à la sienne. Il l'ont surnommée le "Horla".
I comme Inquiétude. Le narrateur s'inquiète de son état. Il se croit d'abord malade. Puis il se croit schizophrène ou hanté, jusqu'à ce qu'il ait la preuve de l'existence du Horla grâce à un article de journal .
J comme le Journal intime que le narrateur rédige durant son cauchemar pour se rappeler de ce qu'il s'est passé. Le Journal intime est une somme de textes écrits quotidiennement et datés, dans lesquels celui qui l'écrit se dévoile sans mentir.
L comme Lit, ce lieu de sommeil que le narrateur redoute chaque soir. Va t-il cauchemarder ? Va t-il mourir ? Ce sont toutes les questions qu'il se pose…" L'oppression d'une crainte confuse et irrésistible, la crainte du sommeil, la crainte du lit".
M comme Mystère. Le narrateur n'arrive plus à dormir mais il ne sait pas pourquoi. Il passe des jours et des jours à enquêter, quand il s’aperçoit finalement que c'est le Horla qui l'en empêche. Il ne peut même pas le voir car le Horla est invisible.
N comme la Nuit: C'est la nuit que la peur l'envahit. Pour lui, la nuit signifie "cauchemar, peur et insomnie". La nuit est utilisée dans les histoires fantastiques car depuis la "nuit des temps", c'est à dire la Préhistoire, la nuit fait peur. L'obscurité augmente l'angoisse, car "la nuit, tous les chats sont gris". Comme la brume dans les contes celtes ou scandinaves, la nuit favorise les hallucinations.
O comme Oppression. L'oppression est une sensation d'un poids sur la poitrine. Le narrateur ressent cette oppression au moment de s'endormir.
P comme Peur, le narrateur a très peur la nuit, il sent une présence qu'il n'identifie pas. Il a la peur du lit et il ne veut pas aller se coucher de peur d'avoir peur !
Q comme QUI ? Le narrateur se demande qui le hante pendant la nuit dans ses rêves, qui a bu le lait et l'eau à son insu durant son sommeil, et qui est la créature invisible qui cueille la rose dans le jardin sous ses yeux !
R comme Rêve. Le narrateur sent dans son rêve qu'il y a quelqu'un qui s'approche de lui, le regarde, le palpe, monte sur son lit, s'agenouille sur sa poitrine, lui prend le cou entre ses mains et serre, serre de toute sa force pour l'étrangler.
S comme Strangulation : Le personnage principal cauchemarde et croit mourir par strangulation (du latin "angere" qui signifie "serrer"), sous la pression d'une personne ou d'une chose qui lui écrase la poitrine. Cela évoque la figure de l'incube (du latin "incubus" signifiant "couché sur"), sorte de démon qui pèse sur la poitrine de ses victimes endormies jusqu'à les étouffer.
T comme Tuer. Le narrateur tente de tuer le Horla en brûlant sa maison, sauf qu'il n'est pas sûr
de l'avoir tué. Mais en incendiant sa demeure, ce sont ses domestiques qui meurent !
V comme Voilier ou le «Trois-mâts brésilien tout blanc, admirablement propre et luisant» qui passe devant la maison du narrateur au début de la nouvelle .