A la tombée de la nuit, il fallu que je regagne ma chambre, cette si grande chambre dont les d'étranges miroirs étaient accrochés au niveau de la tête de lit. Une fois la lumière éteinte, il me semblait voir des ombres maléfiques sortir de ces différents miroirs et qui se penchaient au niveau de ma tête pour me rappeler leur présence. Un grincement étranger émanait du plancher comme si un être maléfique voulait en sortir. Tout doucement, et tout tremblant d'effroi, je tentais de remonter la couverture vers mes épaules, mais impossible d'y parvenir, car ma lampe de chevet s'était transformée en une hideuse sorcière, dont les mains en forme de tentacules se répandaient
sur moi et me retenaient prisonnière. Impossible de crier, impossible de bouger, les plantes vertes situées à la gauche de mon lit étaient devenues d'affreux anacondas dotés d'énormes et grands yeux rouges et ronds comme des hiboux voulaient aussi leur part du gâteau : Moi. J'étais le festin qu'ils avaient tous décidés de déchiqueter telle un vieux bout de viande. Mon lit, transformé en une maléfique pirogue semblait naviguer en eaux troubles, tellement les secousses se faisaient sentir des quatre côté. Puis un bruit encore plus fort retentit sur le plancher, c'était un pot de fleurs qui venait de tomber et de se briser, ce bruit fracassant me sortit de ce rêve affreux, dont je me sentais prisonnier à jamais.
nlyneedna
je n'aime pas travailler sous pression, je n'aime pas du tout ça. Car je me retrouve à bâcler les exos et être empêchée de réfléchir tranquillement
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Bonsoir,
A la tombée de la nuit, il fallu que je regagne ma chambre, cette si grande chambre dont les d'étranges miroirs étaient accrochés au niveau de la tête de lit. Une fois la lumière éteinte, il me semblait voir des ombres maléfiques sortir de ces différents miroirs et qui se penchaient au niveau de ma tête pour me rappeler leur présence. Un grincement étranger émanait du plancher comme si un être maléfique voulait en sortir. Tout doucement, et tout tremblant d'effroi, je tentais de remonter la couverture vers mes épaules, mais impossible d'y parvenir, car ma lampe de chevet s'était transformée en une hideuse sorcière, dont les mains en forme de tentacules se répandaient
sur moi et me retenaient prisonnière. Impossible de crier, impossible de bouger, les plantes vertes situées à la gauche de mon lit étaient devenues d'affreux anacondas dotés d'énormes et grands yeux rouges et ronds comme des hiboux voulaient aussi leur part du gâteau : Moi. J'étais le festin qu'ils avaient tous décidés de déchiqueter telle un vieux bout de viande. Mon lit, transformé en une maléfique pirogue semblait naviguer en eaux troubles, tellement les secousses se faisaient sentir des quatre côté. Puis un bruit encore plus fort retentit sur le plancher, c'était un pot de fleurs qui venait de tomber et de se briser, ce bruit fracassant me sortit de ce rêve affreux, dont je me sentais prisonnier à jamais.